Véritable coup de foudre pour L.A. Tea Time, plus récent film de la jeune Sophie Bédard Marcotte, attrapé sur grand écran dans le cadre des Rendez-Vous Québec Cinéma, rappelant la nécessité d’un tel festival pour faire le plein de ces petits bijoux qui nous ont échappé dans la dernière année.
Browsing: festival
Peut-on en vouloir à un film qui n’arrive pas à la hauteur de sa plus belle scène, qui est certainement l’une des plus belles de l’année? Ou à l’inverse, un film peut-il subsister ne serait-ce que pour une scène qui frôle le génie? Nul doute qu’avec toutes ses imperfections, le film argentin Fin de siglo, présenté au festival Image+Nation, ne nous aura certainement pas laissé indifférents.
Du 7 au 17 novembre 2019, le festival Cinemania met de l’avant une abondance de thèmes sociaux et d’enjeux qui ont inspiré les créateurs du cinéma d’ici et d’ailleurs au cours de la dernière année. Au programme: plusieurs primeurs, des films poignants et de nombreux invités spéciaux.
Un festival de documentaires laisse croire à un rendez-vous d’intellectuels urbains, c’est faux! En vue des 22e Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM) du 14 au 24 novembre 2019, la programmation lancée le 23 octobre à la Cinémathèque québécoise n’est pas différente de ce que les gens ordinaires peuvent voir en ligne, mais avec un certain souci de réalisme.
Des films provocateurs, il y en a. Des films qui hantent et marquent les esprits, aussi. Des films au style éclaté et à la poésie calculée? Également. La proposition de Nadav Lapid est tout cela et bien plus encore; un feu d’artifice épatant dont on ne ressort définitivement pas indemnes. Nul doute, Synonymes est un des grands coups de l’année cinématographique.
C’est ce mardi que la tant attendue programmation de la 48e édition du Festival du nouveau cinéma a été inaugurée. Du 9 au 20 octobre, les festivaliers auront la possibilité de visionner de nombreuses primeurs, de participer à plusieurs événements connexes et de rencontrer quelques invités d’honneur.
Présenté en grande première mondiale et devant une salle comble à Fantasia, le long-métrage Aquaslash, avec son titre très approprié, aurait pu et aurait dû représenter la quintessence du slasher québécois (pratiquement inexistant dans notre filmographie), mais ce pastiche péniblement réalisé fait peine à voir, et est encore plus douloureux à endurer.
On ne le dira jamais assez, on est toujours reconnaissants que le Zoofest continue de donner une visibilité aux artisans de l’ombre permettant aux finissants auteurs de l’ÉNH d’avoir leur propre spectacle. On reconsidère toutefois la pertinence du concept des sketchs, qui ne sont pas toujours à la hauteur.
Tordu à souhait et par le fait même indubitablement coréen, The Gangster, The Cop, The Devil, présenté dans le cadre du festival Fantasia, ne veut pas nécessairement réinventer les choses, mais il s’assure certainement de livrer la marchandise et de divertir son public avec brio.
Pour le 500e anniversaire (et des poussières) de la mort de Jérôme Bosch, le peintre sans doute le plus énigmatique de toute l’histoire de l’art, Les 7 doigts signent une plongée à la fois onirique, poétique, pédagogique, comique et un peu circassienne dans l’univers des tableaux du peintre hollandais. Le 10e festival Montréal complètement cirque est ouvert.