Zaid est médecin. Confortablement installé dans un immeuble chic de Copenhague, chirurgien renommé, marié à une femme qui attend leur premier enfant, l’homme a tout pour lui. Jusqu’au jour où son frère, accointé à des criminels, ne soit battu à mort par ceux-ci.
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Un chalet perdu quelque part dans les bois. Une voisine étrange. Des zombies. On nage dans le connu et archiconnu, certes, mais voilà certainement ce que visait le réalisateur, scénariste et compositeur de Dead Shack, Peter Ricq, dans son film présenté dans le cadre du festival Fantasia.
Un été montréalais n’est pas complet sans le Festival Fantasia et sa programmation toujours plus éclectique et éclatée. Voilà donc que s’ébranlera, dans une semaine, la caravane cinématographique de l’événement. Cette année encore, les têtes d’affiche ne manquent pas… tout comme les étrangetés les plus surprenantes.
Ils sont trois. Trois amis de très longue date, les trois têtes pensantes du collectif BGL, un trio à forte teneur en expression artistique qui sévit en direct de Québec depuis une vingtaine d’années. Et pour l’occasion, le réalisateur Benjamin Hogue leur consacre ce documentaire, BGL de fantaisie.
Avant de revenir à la maison après une mission en Afghanistan, une cohorte de militaires français passent trois jours à Chypre dans le cadre d’une activité de décompression obligatoire. Dans ce film tourné presque en huis clos et adapté d’un roman de Delphine Coulin, les réalisatrices Delphine et Muriel Coulin s’intéressent aux conséquences du stress post-traumatique causé par la guerre et aux situations vécues par les femmes dans l’armée.
Présenté lors de la plus récente édition du Festival de Cannes où il aurait été accueilli avec une ovation, disons que le film Mal de pierres ne manque pas de prestige. Pourtant, de l’avoir choisi comme film d’ouverture, vu son impact plutôt ordinaire au bout du compte, en fait une décision singulière, autre le fait que ses scénaristes et sa réalisatrice soient là pour accompagner sa projection ce jeudi soir 3 novembre.
Révélation cinématographique de l’année 2003, Lost in Translation est un objet qu’il est nécessaire de manipuler avec précaution. Mais au diable les convenances, c’est avec un enthousiasme débridé que Guillaume Tunzini plonge dans un making of débridé présenté dans le cadre du Festival international du film sur l’art (FIFA).
Dès le 10 mars prochain, le Festival international du Film sur l’Art (FIFA) nous propose une 34e édition qui offre un large éventail de productions québécoises, notamment plusieurs longs-métrages présentés en première mondiale. Encore cette année, l’équipe du FIFA nous présente une programmation riche où se côtoient toutes les époques et tous les styles d’oeuvres.