Présenté en première nord-américaine dans le cadre du festival Cinemania, le film Barbara de Mathieu Amalric propose une œuvre hybride dans laquelle Jeanne Balibar interprète une diva nommée Brigitte embauchée pour personnifier la chanteuse Barbara. Au programme: des émotions à fleur de peau, une mise en abyme déconcertante et un vif hommage à la regrettée chanteuse.
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Trois continents, 24 intervenants. Des intervenants qui portent tous le prénom David. C’est à travers ce prisme orthographique pour le moins originale que la cinéaste et documentariste Céline Baril propose, dans 24 Davids, un tour du monde et des enjeux qui préoccupent la société moderne. Une oeuvre iconoclaste qui lançait en grande pompe l’édition 2017 des Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM).
Le programme triple présenté le 12 novembre à la 20e édition des Rencontres Internationales du documentaire de Montréal (RIDM) projetait les courts-métrages The Bird and Us (2016) de Félix Rehm et La frontière (2017) de Félix Lamarche, ainsi que le moyen-métrage Braguino (2017) de Clément Cogitore. À l’intérieur du cadre de cette série, chaque film aborde un thème en lien avec un état de la matière sensibilisant le spectateur à la plastique de l’image.
Réalisé par André Téchiné, Nos années folles propose un récit dont la trame de fond est très sombre, malgré les paillettes et les dorures de l’époque mise en images dans ce film. Pour échapper à la Grande Guerre, Paul Grappe, avec la complicité de sa femme Louise, se travestit. Mais cette métamorphose ne sera pas sans heurt…
C’est ce mardi qu’a été dévoilée la programmation de la 23e édition du festival Cinemania, proposant 54 films issus de la francophonie. Cette 23e édition riche en histoires de toutes sortes sera présentée du 2 au 12 novembre 2017 au Cinéma Impérial, à la Cinémathèque québécoise et au Cinéma du Parc.
Arnaud Desplechin est certainement l’un des grands cinéastes français de son époque, lui qui manie les mots comme personne, tout en conservant une folie technique qui électrise le spectateur, qu’il soit novice ou fidèle habitué de sa décoiffante filmographie. En ramenant son alter ego préféré pour une sixième fois en la personne du brillant Mathieu Amalric, il multiplie cette fois ses muses en venant troubler de nouveau notre esprit. Ce, avec le plus grand brio qu’on lui connaît.
Les amateurs du septième art et de bons petits plats ont rendez-vous dans la région de Charlevoix – et plus précisément à Baie-Saint-Paul – les 3, 4 et 5 novembre pour la première édition du festival Cuisine, cinéma et confidences.
De l’énergie propre. Abordable. En quantités illimitées. Sans danger. Dans le cadre du festival Fantasia, la réalisatrice Mila Aung-Thwin présente Let There Be Light, la quête d’une machine capable d’accomplir une réaction de fusion nucléaire. Et surtout, une réaction de fusion qui dégage plus d’énergie qu’elle n’en consomme…
Good time arrive à point pour remettre les pendules à l’heure. En effet, si vous étiez en train de rater le bateau, à l’instar de Kristen Stewart qui s’émancipe avec brio grâce à Assayas, Pattinson multiplie les collaborations dorées pour pousser ses capacités au firmament, poussant les deux vedettes d’une franchise dont on ne prononcera pas le nom, à mener de front l’élite de la relève d’acteurs d’aujourd’hui. Mieux, le nouveau film des frères Safdie est rien de moins qu’électrisant.
Dans une université américaine, Noelle, étudiante en arts plastiques, est violée lors d’une soirée par un étudiant qui lui était tombé dans l’oeil. Mortifiée, terrorisée, horrifiée par le traitement qu’on lui réserve – avait-elle bu? A-t-elle provoqué son présumé agresseur? Que portait-elle? -, elle décide plutôt de prendre les choses en main et de se venger des violeurs en liberté sur le campus.