Les femmes, les minorités sexuelles et et les Autochtones sont les catégories de gens ayant subi le plus d’incidents criminels.
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Les femmes immigrantes québécoises sont sous le coup de quatre facteurs qui expliquent leurs conditions économiques moins avantageuses.
La tendance à l’écriture des personnages masculins perdure depuis au moins deux siècles.
Les femmes sont davantage touchés par les difficultés économiques au pays, ces derniers mois.
Les conséquences de la pandémie de COVID-19 continuent de se préciser: outre le très lourd bilan en matière de santé, avec plus de 3 millions de mort des suites de la maladie, on dénoterait des pertes économiques particulièrement importantes chez les femmes, selon une récente note d’information d’Oxfam. Ainsi, ce sont quelque 800 milliards de dollars qui auraient disparu des poches d’une population souvent déjà plus fragilisée depuis l’éclatement de la crise.
Aux États-Unis, avec 200 millions de personnes qui ont obtenu leur première dose, la différence hommes-femmes se confirme: les femmes se font plus souvent vacciner que les hommes. Un écart moyen de 10%, avec des pointes approchant les 20% dans certaines régions ou certains groupes de la population.
Les services de planification familiale, y compris en ce qui concerne les rapports sexuels protégés, ou encore les services d’interruption de grossesse, le cas échéant, sont eux aussi à ajouter à la liste des « victimes » de la pandémie, révèlent de récentes données publiées par le Fonds des Nations unies pour la population (UNFPA) et Avenir Health.
Des décennies de gains féministes au sein du marché de l’emploi ont été sapés par la pandémie de COVID-19, aux États-Unis, alors que les services d’éducation publique ont été mis à mal dans ce pays, indique une nouvelle étude de l’Université Washington à Saint-Louis. Ce réseau est pourtant essentiel pour les parents, particulièrement pour les mères, qui en dépendent pour aller travailler.
Il y a la violence flagrante, les arrestations, voire l’exécution des journalistes. Mais parmi les autres entraves au métier de reporter, révèle un récent rapport de Reporters sans frontières (RSF), le sexisme est l’une des principales barrières à l’exercice de ce travail par des femmes.
Depuis longtemps, les chiffres montrent que les chercheurs publient davantage que les chercheuses. Pour la première fois, une étude pointe une corrélation entre ce fait et la conciliation travail-famille, qui tourne plus souvent au désavantage des femmes. Et la COVID-19 risque d’avoir amplifié le problème.