Hugo Prévost et Kevin Laforest s’installent confortablement pour écouter plus récent long-métrage de Jon Watts, un divertissement aux allures de « film de papa ».
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Bon nombre d’anciens tertres funéraires ukrainiens avaient été endommagés dans deux régions présentement sous occupation russe, ce qui pourrait représenter une violation du droit international.
Pour en apprendre davantage sur cet album figurant parmi les finalistes du 10e Prix de la critique ACBD de la bande dessinée québécoise, Pieuvre a eu le privilège de s’entretenir avec son créateur.
La réalisatrice Maryse Legagneur explore une relation difficile mêlant traumatisme et nourriture traditionnelle. Dans ce nouvel épisode, Hugo Prévost et Kevin Laforest plongent dans un film aussi appétissant que troublant.
« On assiste avec Terrasses à une poétisation du moment tragique, puis à l’apparition du « nous » qui raconte la réalité intime et le moment de la bascule dans l’horreur », affirme le metteur en scène Denis Marleau, qui signe l’adaptation de ce texte littéraire.
50% des adultes américains interrogés dans le cadre de l’étude jugent qu’un tel blocage est « peu probable », contre 31% qui croient que l’interdiction ira de l’avant.
Avec une formule classique, mais toujours aussi efficace; avec des images parfois choquantes, mais nécessaires, et surtout avec un accès autrement impossible à obtenir pour les médias occidentaux, Russians at War est un film antiguerre particulièrement efficace. Impossible, tout au long du visionnement, de ne pas être en colère contre les soldats, oui, mais aussi contre leurs dirigeants assoiffés de sang et de pouvoir qui ont déclenché une guerre complètement inutile. À voir, absolument.
Hugo Prévost et Kevin Laforest s’intéresse à ce film scénarisé et réalisé par Jeremy Saulnier qui surprend par son désir de s’éloigner des clichés du genre.
Pour le 100e épisode d’Entretiens journalistiques, le directeur général de RSF répond aux questions d’Hugo Prévost à propos de l’ampleur de la menace contre la liberté de presse, mais rappelle aussi que tout n’est pas gris, dans l’univers des médias, et qu’il faut s’attaquer aux différents problèmes à bras-le-corps pour mieux renouer avec le public.
Deux par deux rassemblés est un excellent exemple d’une sorte de « démocratisation » de l’art, d’une façon de sortir les visiteurs d’une certaine zone de confort. On ne saurait trop recommander d’aller y faire un tour, d’autant plus que certaines oeuvres feront l’objet d’une rotation d’ici le 5 octobre, date de fin de l’exposition. Une autre raison, assurément, de ne pas craindre la récidive.