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Pour cette première partie du spécial halloween 2024, il faut se poser la question: 25 ans après sa sortie, le film scénarisé et réalisé par Daniel Myrick et Eduardo Sanchez tient-il toujours la route?

« Aujourd’hui, le risque le plus important est l’élément humain – la désinformation, la propagande, la manipulation via les médias, les efforts ciblés pour faire en sorte que des populations précises votent ou ne votent pas, ainsi que les tentatives d’autres pays pour provoquer le chaos ou interférer dans nos élections. »

But the crazy enemies, the weird (but realistic) level design, the freaky music, the cheesy full-motion video cutscenes… everything combines into a fascinating game that benefits greatly from this remaster. Oh, Killing Time: Resurrected is not perfect by any means, but it is indeed a cult classic that deserves to be played.

Pour Dave, l’une des entreprises offrant des avances sur la paie, « 81% des revenus rapportés en 2023 sont liés aux frais et pourboires; sur des revenus de 259,1 millions de dollars, 152,5 millions proviennent de frais, et 59,9 millions sont des pourboires » versés par les utilisateurs.

Hugo Prévost et Kevin Laforest explorent deux longs et deux courts-métrages: EAT THE NIGHT (Caroline Poggi et Jonathan Vinel), RUMOURS (Guy Maddin, Evan et Galen Johnson), MERCENAIRE (Pier-Philippe Chevigny) et JOURS AVANT LA MORT DE NICKY (Denis Côté).

Pièce très vivante, pièce très physique, pièce drôle, pièce triste, pièce qui fait réfléchir… Cette colline n’est jamais vraiment silencieuse est un gros morceau théâtral, le genre d’oeuvre qui sort du cadre et qui surprend. Quelque chose dont nous avons bien besoin, en ce moment.

Saturday Night est un projet qui va au-delà du simple biopic, ce qui est tout à son honneur, mais qui ne va pas non plus au bout de ses possibilités. Comme quoi, pour célébrer les 50 années de quelque chose d’aussi marquant dans le paysage de la télévision, surtout considérant toutes les archives qui doivent être à portée de main, un documentaire aurait peut-être été plus approprié.

Hugo Prévost et Kevin Laforest se demandent si cette oeuvre d’Ali Abbasi mettant en vedette Sebastian Stan, Jeremy Strong et Maria Bakalova est suffisamment « réaliste » ou vindicative à propos de celui qui a encore des chances de redevenir président des États-Unis, en novembre prochain.