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Le Soleil suit par ailleurs des cycles de 11 ans. À leur sommet, on assiste à davantage d’éruptions, et on observe davantage de trous coronaux qui, au lieu d’être concentrés aux pôles, peuvent apparaître n’importe où.

L’engin serait aussi juste assez gros pour aller porter des propres satellites en orbite. En fait, ceux qui l’ont suivi à la trace ont rapporté plusieurs manoeuvres pendant ses neuf mois en orbite, et une opération qui pourrait être le largage et la capture d’un objet, possiblement pour simuler la capture d’un satellite. 

Les chercheurs ont découvert ce qui pourrait être une source de chaleur au sein du manteau rocheux des lunes, qui entraîne la production de liquides, et qui aiderait un océan à maintenir un environnement tiède. Le tout pourrait favoriser une colonisation humaine.

Dans l’immédiat, le succès du SLS et d’Orion laisse donc croire que, contrairement aux annonces officielles de la NASA, il se pourrait qu’Artemis 3 repose sur les engins de la NASA, plutôt que sur ceux de SpaceX, en dépit du contrat de 2,9 milliards de dollars signé avec cette dernière.

L’idée traditionnelle des zones habitables peut maintenant être conçue comme une partie d’un concept beaucoup plus vaste de zones de calcul. Où l’on trouve de la vie, comme on le comprend présentement sur Terre, on trouve des calculs en cours, affirment les chercheurs.

Dans un article publié par la revue Nature, l’astrochimiste Jennifer Bergner et l’astronome Darryl Seligman s’en remettent à la physique pour expliquer l’accélération.

Si on songe que, sur Terre, des initiatives locales ont donné naissance à des « zones de silence radio » dans les parages de certains observatoires de radioastronomie, il serait peut-être possible de réduire le « bruit » des engins en orbite lunaire.