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Près de 20% de la population mondiale vit près d’un bassin versant sous pression où les futurs incidents provoqués par les changements climatiques pourraient menacer l’accès à une ressource essentielle à l’agriculture, à l’industrie et à la vie elle-même, selon une étude réalisée par des chercheurs de l’Université de Californie à Irvine et d’ailleurs, étude publiée lundi dans Nature Sustainability.

En moins d’un mois, deux nouvelles informations, séparées par des milliards de kilomètres, ont donné espoir à ceux qui espèrent trouver du liquide sur d’autres mondes. Et l’un de ces deux mondes est celui qu’on aurait jugé le plus improbable: Pluton.

La Terre est unique dans notre système solaire: il s’agit de la seule planète tellurique (rocheuse) possédant une grande quantité d’eau et une lune relativement grosse, qui stabilise l’axe de notre planète. Les deux sont essentielles à la vie, et des planétologues de l’Université de Münster, en Allemagne, sont désormais en mesure de prouver que l’eau qui se trouve sur Terre résulte bel et bien de la formation de notre satellite naturel.

Il y a eu à présent, depuis 15 mois, trois alertes à la contamination de la laitue romaine par la bactérie E. coli sur le continent nord-américain. Chaque fois, la cause réelle de la contamination — pourquoi cette bactérie à cet endroit et à ce moment — est restée une énigme. Pourrait-il y avoir un point commun?

Plus de légumineuses, de légumes, d’eau, moins de produits laitiers… et, surtout, la fin de l’arc-en-ciel bien connu et du guide pour le nombre de « portions » quotidiennes. Santé Canada dévoilait mardi matin sa nouvelle version du Guide alimentaire canadien, après une étrange controverse mêlant pois chiches, racisme et appels aux « valeurs alimentaires » traditionnelles.

L’hiver dernier, la métropole du Cap, en Afrique du Sud, faisait face à une telle pénurie d’eau qu’on envisageait d’en couper l’approvisionnement et de rationner la distribution de bouteilles d’eau à ses 4 millions d’habitants. Le Cap a fini par y échapper. Mais qu’arriverait-il si la prochaine victime, dans un pays riche, était non pas une, mais plusieurs grandes villes des États-Unis?

Règle d’or de la science: une étude unique n’est jamais suffisante. Il faut toujours tenter d’avoir une deuxième étude, voire une troisième, pour confirmer une découverte, spécialement une découverte susceptible de bouleverser les connaissances acquises. Mais parfois, ça pose de menus problèmes: ainsi, comment sera-t-il possible de confirmer si des scientifiques viennent bel et bien de découvrir de l’eau sur Mars?

Quatorze années de données satellites révèlent qu’à travers le monde, sur 34 régions-clefs pour l’approvisionnement en eau potable, les tendances, largement à la baisse, peuvent être attribuées à l’humain ou aux changements climatiques dans les deux tiers des cas.

C’est de l’eau « non filtrée, non traitée, non stérilisée ». Appelée aussi de « l’eau crue » (raw water), vendue 37$ pour un contenant de 9 litres (2,5 gallons) dans une boutique de San Francisco. Et pour la modique somme de 15$, vous avez droit à un deuxième remplissage.