Les fonctionnalités limitées et la protection renforcée de la vie privée ne sont pas le modèle d’affaires des géants de la technologie.
Browsing: données personnelles
« Nous ne pouvons pas simplement dire aux gens d’éteindre leur téléphone ou de se déconnecter du réseau. Nous devons dialoguer pour mettre en place des lois et des normes qui réglementent comment les gens qui recueillent nos données les utilisent. »
Les exécuteurs testamentaires et autres spécialistes réclament une réforme des lois pour mieux gérer les biens numériques.
Sur le web, les données sont le Saint-Graal. C’est d’ailleurs avec celles-ci que bien des entreprises du monde numérique font leur pain et leur beurre. Cela ne veut cependant pas dire que les consommateurs sont favorables à l’utilisation de ces informations comme source de profit, comme le démontre un récent sondage.
Une nouvelle étude de l’Université James Cook avance que les restrictions toujours plus complexes de nombreux sites web en matière de sécurité des mots de passe mènent souvent à la frustration des utilisateurs et entraînent de mauvaises pratiques pour protéger les données et autres services normalement cachés derrière des portes numériques closes.
La pandémie aura profondément transformé le secteur de la vente au détail. Privées de consommateurs en magasin en raison des confinements, les entreprises se sont massivement tournées vers les achats en ligne, quand elles avaient l’occasion de le faire. Selon une récente étude de spécialistes liés au magazine The Economist, cet aspect de la vente au détail devrait ainsi venir à représenter le cinquième de toutes les ventes mondiales d’ici 2025.
Votre identité – informations personnelles, comptes bancaires, mots de passe et numéro d’assurance sociale, par exemple – est à vendre en ligne. Et il vous en coûtera moins que le salaire horaire moyen pour vous procurer des informations qui ne devraient normalement jamais circuler librement sur le web, révèle une nouvelle étude.
Avec une popularité qui continue à croître, les VPN, les réseaux privés virtuels, sont utilisés pour atteindre plusieurs objectifs, objectifs qui tournent généralement tous autour de l’idée de naviguer en ligne sans qu’un site web, qu’un fournisseur d’accès, ou que d’autres services et systèmes puissent déterminer l’emplacement géographique d’un internaute, et ultimement l’identifier. Lorsque de tels services d’anonymat sont gratuits, toutefois, il y a probablement anguille sous roche, estime une nouvelle étude.
Est-il véritablement possible de cacher complètement ses gestes en ligne? Des chercheurs, publiés dans l’International Journal of Electronic Governance, ont tenté de savoir si une série de cinq applications « anonymes » pour médias sociaux sont véritablement sécuritaires, ou si elles permettent plutôt à des tierces parties d’avoir accès à des informations personnelles ou de suivre les utilisateurs à la trace.
Les Canadiens seraient à l’aise avec une intégration plus poussée de l’intelligence artificielle en entreprise, mais demeurent toutefois méfiants par rapport aux possibles fuites de données et autres traitements inattendus ou inappropriés de leurs informations personnelles ou financières, révèle un récent sondage de la Banque TD.