Les groupes environnementaux américains se préparent au pire. Ont-ils raison de s’inquiéter? D’un côté, Trump leur a donné toutes les raisons d’avoir peur de lui. De l’autre, il n’est pas encore président que le rétropédalage semble avoir commencé.
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Une prise de position tout à la fois contre le sexisme, la discrimination et l’anti-intellectualisme. C’est une lettre rédigée à la hâte par cinq femmes scientifiques dans la foulée de l’élection de Trump, mise en ligne le 17 novembre avec 500 signatures, et qui a déjà dépassé, après quelques jours, le cap des 5000 appuis.
Tout au long de la campagne électorale, le candidat Donald Trump n’a pas pris la parole pour livrer un message, mais pour bloquer la communication. Après sa victoire, ses électeurs ont déclaré qu’ils n’étaient pas entendus par l’establishment: « Washington ». Cet enjeu rhétorique concerne directement le rôle des médias.
Du Brexit jusqu’à Trump, les sondages ne sont plus l’outil qu’ils étaient. Problème de collecte de données ou d’analyse de données? Problème mathématique ou sociologique?
Sur les dossiers scientifiques, on sait déjà que Donald Trump est climatosceptique et que les défenseurs de l’assurance-maladie d’Obama craignent pour sa survie. Quoi d’autre?
C’est sans doute la seule chose qui manquait au palmarès de Donald Trump : son nom et le mot « anthropocène » dans la même phrase.
Quoiqu’on dise pour critiquer la candidate démocrate Hillary Clinton, il y aura toujours quelqu’un pour nous rappeler qu’elle est bien moins pire que le candidat républicain Donald Trump. N’empêche que pendant que le parti démocrate se contredit pour le pouvoir, le citoyen moyen reste captif de l’industrie du crédit, ancrée dans la société américaine bien avant que le candidat grossier pose sa candidature.
Si l’équipe de Donald Trump espérait lui faire gagner des votes en répondant au questionnaire sur la science, elle n’y a pas mis beaucoup d’efforts. Les réponses soumises par le candidat républicain se distinguent d’abord de celles d’Hillary Clinton par… leur brièveté.
Donald Trump a jugé mercredi que le président russe Vladimir Poutine faisait un meilleur chef d’État que Barack Obama, tentant de s’imposer dans un forum télévisé face à Hillary Clinton comme le mieux à même de réaffirmer la puissance américaine.
À l’approche du Brexit, les « séparatistes » se sont fait accuser de racisme de sorte qu’un vote pour la séparation du Royaume-Uni de l’Union européenne ( UE ) équivaudrait à un vote pour l’extrême-droite, présente en France et en Allemagne. Le journaliste et auteur Paul Mason ne nie pas la colère des Britanniques et en explique les raisons dans Le Monde diplomatique du mois d’août.