Rapide comme l’éclair, le président Donald Trump enchaîne les signatures de décret à la vitesse où il envoie des « tweets ». Mercredi dernier, il a autorisé de par son trait gras la construction d’un mur le long de la frontière sud au détriment de l’environnement et de la diplomatie.
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Via le tourisme de maternité ou par accident, les bébés nés aux États-Unis reçoivent automatiquement la nationalité américaine. Si certains y voient une multitude d’avantages, d’autres regrettent amèrement ce bonus imposé, rapporte le Monde diplomatique de janvier.
Donald Trump est devenu président à midi le 20 janvier. Et à la même minute, toutes les mentions des changements climatiques sont disparues du site de la Maison-Blanche, déclenchant une colère sur les réseaux sociaux. Cette colère vise-t-elle la bonne cible? Pas vraiment. Cinq clés pour comprendre.
À un pas de l’investiture de Donald Trump à la présidence des États-Unis, qui peut prétendre que les règles du jeu dans les relations publiques politiques n’ont pas changé?
Alors qu’on parle d’ère post-factuelle, les scientifiques auraient tort d’observer ce problème de trop loin. La remise en question du « fait » et la méfiance du public envers les élites, concernent au premier chef la science et les chercheurs.
Le nouveau gouverneur de l’État du Dakota du Nord, Doug Burgum a affirmé que le passage du Dakota Access Pipeline (DAPL) par la réserve autochtone de Standing Rock sera approuvé dès que M. Donald Trump deviendra président. L’intervention à la mi-novembre de l’Army Corps of Engineers (ACE) déclarant que le pipeline ne sera pas achevé tant qu’on ne connaîtra pas l’impact sur l’environnement a donné un moment de répit aux Sioux.
Un candidat improbable qui remporte l’investiture républicaine, puis, contre toutes attentes, la présidentielle américaine. Un chef d’État qui affiche publiquement son mépris pour un groupe particulier du grand melting-pot états-unien. Un dirigeant se rangeant du côté du chef d’une nation « ennemie ».
Comme si on n’avait déjà pas assez de motifs d’inquiétude, le journaliste Ed Yong a choisi de nous souhaiter de joyeuses Fêtes à travers un scénario d’épidémiologie… de l’ère Trump.
À l’instar de l’ex-premier ministre canadien Stephen Harper, le président américain désigné Donald Trump semble miser sur l’exploitation des combustibles fossiles, malgré le réchauffement climatique. Cette ressource peut-elle se substituer au bien commun?
Alors que la liste des climatosceptiques au sein du futur gouvernement Trump ne cesse de s’allonger, la première personne nommée à un poste de haut niveau qui a clairement admis la réalité du réchauffement climatique se trouve à être le président de… la pétrolière Exxon.