Les comédies romantiques se font par centaines chaque année et Sleeping With Other Peopleréussit l’exploit de se frayer un chemin plus mémorable de par la justesse de son écriture et l’excellence de sa distribution. Comme son passage en salles a été plutôt discret, voilà l’occasion rêvée de le rattraper puisque le film s’amène en DVD!
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Il y a des cinéastes au style si particulier que leur œuvre porte une signature qui ne peut que leur convenir. L’indomptable Quentin Tarantino en fait partie et livre indubitablement un film dont lui seul peut en être l’auteur avec son époustouflant The Hateful Eight, une proposition claustrophobique et hivernale qui pousse étonnamment plus loin les plus belles folies de son incorrigible audace.
Difficile de faire suite à un film comme La Grande Bellezza, puisqu’à l’image de son titre on y trouvait une proposition d’une beauté inoubliable. S’il semble se baser sur les mêmes élans visuels tout en respectant son propre style maniéré, Paolo Sorrentino nous revient avec Youth, un opus créatif qui séduit, mais qui n’impressionne pas.
On oublie souvent la spécificité de Montréal lorsqu’on la compare aux autres villes. L’exposition Une modernité des années 1920 Montréal, le Groupe de Beaver Hall présentée du 24 octobre 2015 au 31 janvier 2016 au Musée des beaux-arts de Montréal nous rappelle la morphologie urbaine de cette métropole, la première du pays.
Fortement pressenti pour les Oscars et les grands honneurs de fin d’année, Brooklyn est un film académique qui a tout pour plaire. Oui, c’est certainement un beau film. Oui, c’est également un bon film. Un grand film? Loin de là toutefois.
Michel vient de trouver la perle rare: un disque de jazz qu’il recherche depuis plusieurs années vient d’entrer en sa possession. Tout heureux de l’écouter sans plus attendre, le quinquagénaire devra en fait prendre son mal en patience, voire surmonter toute une série d’obstacles pour obtenir enfin Une heure de tranquillité.
Jim Chartrand @JSChartrand C’est mardi après-midi qu’étaient présentés aux médias trois épisodes de la très…
À plusieurs reprises, Bernard Maris emploie l’image du gâteau pour illustrer l’économie dansOncle Bernard l’anti-leçon d’économie (2015) de Richard Brouillette. Le documentaire qui sortira en salle le 7 janvier présente une longue entrevue où l’économiste, qu’on pouvait lire dans les pages de Charlie Hebdo, nous explique qui coupe le gâteau, mais surtout comment il divise les parts.
Si l’événement cinématographique n’a pas besoin de présentations, ne faisons pas durer le suspense plus longtemps et annonçons immédiatement que J.J. Abrams a encore réussi avec grand brio l’impossible en redonnant vie à un intouchable de façon à satisfaire pratiquement tout le monde, des initiés aux non-initiés, des fans aux nouveaux venus, allant peut-être même à atteindre ceux qui n’en ont absolument rien à faire de toute la folie entourant Star Wars. Pendant presque la totalité de ses deux heures et quelques, disons que le septième épisode de la saga est un feu roulant de feux d’artifice pour l’enfant enfoui en chacun de nous.
Pour une 13e saison consécutive, l’incontournable à très grand déploiement du temps des Fêtes, Décembre, le Noël de Québec Issime, revient charmer petits et grands. Depuis le premier lever de rideau en 2003, les critiques sont unanimes à louanger ce spectacle incomparable. À nouveau cette année, ce rendez-vous empreint de souvenirs et d’émotions touche l’enfant qui sommeille en chacun de nous. Invitation à la féerie.