Sebastian demeure une belle proposition où plusieurs promesses sont tenues, mais où quelques autres mériteront un plus grand travail, dans le futur. Une chose demeure certaine, on sera décidément au rendez-vous pour les autres films du cinéaste, tout comme les nouveaux projets de son acteur principal.
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Tout l’ouvrage est porteur de valeurs positives comme l’acceptation de soi, l’amitié, le respect de l’autre et le respect de l’environnement. L’écriture est bien adaptée au public visé et les illustrations présentent une belle richesse tout en laissant une bonne place à l’imagination.
Le ballet Lunar Halo propose ainsi des tableaux de toute beauté et des chorégraphies exigeantes et très originales, qui incluent les arts martiaux comme héritage de son créateur.
Doux-amer, proposition dont le plaisir croit avec l’usage – en quelque sorte –, superbement tourné, Preparations for a Miracle méritait pleinement d’ouvrir l’actuelle édition des RIDM. Un documentaire engagé, certes, mais aussi capable de prendre un pas de recul. Une oeuvre plus que nécessaire, y compris pour son approche très « science-fictionnesque ».
Langue étrangère demeure néanmoins un film satisfaisant, le talent réuni devant et derrière la caméra étant trop riche pour bouder son plaisir. On regrette toutefois qu’il semble manquer de finition au produit, peut-être de par sa nature plus personnelle. On continuera toutefois de suivre avec attention la carrière de cette cinéaste qui a beaucoup de projets dans sa mire.
Bien qu’ils proviennent d’époques différentes et soient signés par des réalisateurs qui sont tous devenus des icones d’Hollywood, il s’agit de classiques célébrant un anniversaire cette année, et qui sont disponibles pour la première fois en 4K.
Les bases de Carton rouge ne sont pas mauvaises, loin de là. Mais l’exécution et la structure de la chose provoquent une telle confusion, une telle incompréhension, qu’on se demande bien si le message que l’on souhaite transmettre se rendra bel et bien à ses destinataires.
Proposition en apparence simple, mais dont la complexité se dévoile à mesure que l’on prend le temps de vivre l’oeuvre en question, portés par un désir de s’imprégner de tant de beauté musicale et visuelle, certes, mais peut-être aussi par une envie d’abandonner temporairement le monde extérieur, Ravel Ravel Interval a un petit quelque chose de transcendant. Idéal, donc, pour se laisser emporter.
Le texte d’Anatomie d’un suicide, notamment avec ses échanges quasiment intergénérationnels, est très bien interprété par une solide distribution. Dommage, toutefois, que plusieurs autres éléments viennent franchement gâcher l’expérience. Le sujet est brutal, mais nécessaire, certes. Ce qui est moins nécessaire, c’est d’irriter les spectateurs.
On perçoit continuellement tout le potentiel et les nombreux charmes dont le film aurait pu bénéficier. À la place, Los amantes astronautas préfère tourner autour de tout ce qui nous intéresse le moins, même lorsque nous parvenons enfin à la finale tant attendue, qui sera malheureusement réglée en un tournemain, de façon beaucoup trop aisée.