La série télévisée la plus violente du petit écran est enfin de retour, avec la parution cette semaine de Banshee: The Complete Third Season en Blu-ray, DVD, et vidéo sur demande.
Browsing: culture
Après le grand nettoyage de l’univers étendu de Star Wars par Disney suite au rachat de Lucasfilm – ou plutôt sa mise à mort pure et simple -, il restait bien peu de contenus « officiels » divergeant des six (et maintenant sept) films. Heureusement, si le nouveau propriétaire a offert un Épisode VII sans grand frisson, la série Star Wars Rebels (Star Wars Rebelles au Québec) prouve que l’on peut innover sans se trouver trop coincés par les barrières existantes.
S’il exécute sa performance lors d’une exposition ou dans le cadre d’un festival, l’artiste se met en scène plus que le lieu ne se met en abîme. L’artiste islandais Ragnar Kjartansson semble nous proposer l’inverse dans son exposition au Musée d’art contemporain de Montréal (MAC).
Entouré d’une distribution exemplaire, le grec Yorgos Lanthimos qui a troublé le monde entier avec son merveilleux Kynodontas (Dogtooth ou Canine) qui s’était rendu aux Oscars, s’est vu attribué le prix du Jury au dernier Festival de Cannes pour l’aussi romantique que perturbant The Lobster, son magnifique premier long-métrage en langue anglaise.
Aux éditions du Seuil paraissait cet hiver le plus récent roman policier de Deon Meyer, En vrille. Auteur d’une dizaine de best-sellers traduits dans plusieurs langues, Meyer est originaire d’Afrique du Sud et s’il y a une constante dans le contenu de ses romans, ce ne sont pas des personnages ou des intrigues semblables. C’est plutôt une capacité à décrire avec respect, avec amour, ce pays qui l’habite. Autant les gens que les lieux, Deon Meyer les respecte et sait les décrire avec la passion d’un profond attachement.
Récemment paru aux éditions Nota Bene, Une vie sans bon sens d’Olivier Ducharme et Pierre-Alexandre Fradet pose un regard philosophique sur l’œuvre du cinéaste québécois Pierre Perrault. Afin d’en apprendre davantage sur cette approche unique, Pieuvre.ca s’est entretenu avec l’un des deux co-auteurs du livre.
Trois personnages unis par le hasard. Avec Les mauvaises herbes (2016), le cinéaste Louis Bélanger nous présente moins un film sur le cannabis qu’une rencontre fortuite.
Ah, Frankenstein… ou plutôt son monstre, même si le second a tendance à prendre la place du premier dans l’imaginaire collectif. Aux pieds de l’oeuvre monumentale de Mary Shelley sont venus s’échouer quantité d’adaptations cinématographiques, et Victor Frankenstein, la dernière en date, ne fait hélas pas exception.
Histoire de la violence se lit d’un trait. Difficile de déroger de ce drôle de récit à la fois autobiographique et violent – c’est le cas de le dire – du jeune auteur Édouard Louis. Écrit sous la forme d’un interrogatoire et d’une discussion intérieure, le protagoniste revient sur un épisode malheureux qu’il a vécu un soir de Noël et dont il peine à se sortir.
Deux fils à papa mégalomanes, mais dépressifs, cachant tous deux une identité secrète, décident de se livrer une guerre sans merci dans un jeu de chat et de souris contrôlé sournoisement par un millionnaire psychotique. Dans tout autre film ce serait le synopsis d’un sérieux cas de démence, mais ici, c’est la prémisse d’un nouvel univers interminable de superhéros en guise d’histoire, si l’on ose accepter qu’il y en a bien une…