Ubu roi, la fameuse pièce d’Alfred Jarry, maintes fois adaptée, se retrouve présentée en miniature sur la table par le Théâtre de la Pire Espèce.
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C’est aux éditions Baker Street que vient de paraître le plus récent écrit de Robert Littell, déjà connu pour d’autres ouvrages sur la Russie ou l’Union soviétique. Publié d’abord sous le titre original The Mayakowsky tapes, il est traduit de l’anglais états-unien par Cécile Arnaud et prend en français le titre de Vladimir M.
Rebecca Miller continue d’avoir l’œil pour les distributions impressionnantes, mais semble encore incapable de trouver son propre ton, son propre rythme et une histoire qui puisse aller de façon convaincante jusqu’au bout de ses idées. Voilà pourquoi Maggie’s Plan s’essouffle bien avant qu’on ait pu apprécier l’ampleur de ses différents charmes, sommes toutes présents.
Plus improbable, absurde et poussée que son prédécesseur, cette suite à Now You See Me est plus que jamais le reflet d’un rappel qui n’avait aucune raison d’exister, n’en déplaise aux terribles tentatives du premier volet de laisser des portes ouvertes et à l’ensemble général de prétendre être de notre époque.
Difficile de croire que l’on pourrait qualifier une même chose à la fois de nonchalante et d’extrême. C’est pourtant ce que nous propose le dramaturge Étienne Lepage avec La logique du pire, sa toute dernière création qu’il a montée avec l’aide du chorégraphe Frédérik Gravel. Présentée sous forme de capsules, la pièce met en scène cinq personnages qui nous narrent une série de fragments de vie. D’un humour noir, ou devrais-je plutôt dire gris, leurs récits font souvent rire, mais surtout réfléchir.
Si vous avez raté l’étonnante dernière création de Clara Furey au théâtre de la Chapelle l’automne dernier il est encore temps de vous rattraper ce soir au Monument National dans le cadre du OFFTA.
Karl Kane est de retour. Le taciturne détective privé couplé à un auteur sans véritable succès parcourt toujours les rues régulièrement ensanglantées de l’Irlande du Nord, et l’homme traverse aujourd’hui Un sale hiver.
Comment critiquer Romeo Castellucci, maître de son genre? Chez les artistes de la scène contemporaine, c’est unanime, les pièces de Castellucci sont si singulières et puissantes qu’on ne peut qu’admirer son travail.
Le Théâtre Parenthèse se concentre sur l’unicité du comédien et sur son jeu créateur à partir de l’appropriation de l’histoire et de la culture de chacun. La compagnie présente la Soirée Blanche, les 3, 4, 10, 11, 17, 18 juin à leur local dans le quartier Rosemont. Un événement où les comédiens jouent des textes écrits par des amateurs.
Berlin, 1949. Après la Deuxième Guerre mondiale, mais avant le pic de la Guerre froide. Avant le Mur, donc. Mais pour l’auteur Joseph Kanon, il s’agit-là de l’environnement idéal pour s’y faire affronter les personnages de son roman intitulé… hé bien, Berlin 49.