Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’Helen Ellis a de l’imagination. L’écrivaine américaine installée à New York lance un pavé dans la mare avec American Housewife, publié ici aux Éditions de La Martinière.
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Une édition du Festival Fantasia ne serait pas complète sans son film purement « japonais ». Le genre d’aventure cinématographique qui témoigne souvent du côté bizarre et déroutant de la culture nippone. Pour ce journaliste, la palme de ce type de divertissement revient cette année à Hentai Kamen 2 – The Abnormal Crisis.
Les compagnies aériennes Icelandair et WOW Air ont baissé leurs prix, desservent plus de destinations et offrent la possibilité de faire de longues escales au moment de transiter en Islande, ce qui attire une foule de touristes dans la capitale de 120 000 habitants. Reykjavík se transforme-t-elle en refuge pour randonneurs ou en agglomération avec divertissements? Pieuvre.ca s’est rendu au nord du 64e parallèle afin de sillonner la capitale nordique pendant 8 jours.
Il y a quelques jours, le prolifique et indéfinissable réalisateur Takashi Miike a participé au Festival Fantasia afin de présenter deux de ses plus récents films, As the Gods Will et Terraformars. C’est devant une salle comble qu’il a fait connaître au public montréalais son thriller d’horreur fantastique, As the Gods Will, récit impitoyable et divertissant sur une quête dont on peine à deviner les tenants et les aboutissants.
Les films de Batman se suivent et… se ressemblent un peu. Oh, il y a bien entendu des incongruités – et le mot est faible – comme Batman v. Superman: Dawn of Justice, mais lorsqu’il est question d’adapter les aventures du justicier masqué au grand écran, les dessins animés sont souvent plus intéressants que les oeuvres tournées en chair et en os.
Le futur proche. Du moins, c’est que l’on croit. Après tout, tout le monde a oublié. Une maladie faisant disparaître la mémoire à court terme frappe lorsque les humains s’endorment. Il en résulte Embers, un drame de science-fiction contemplatif présenté dans le cadre du festival Fantasia.
Rendez-vous annuel des cinéphiles maintenu depuis près de trente années, Woody Allen nous convie une fois de plus dans les salles sombres pour nous offrir cette fois un regard inédit dans les coulisses d’Hollywood des années 1930. Une mécanique un peu rouillée qui ne manque toutefois pas de charmes.
Richard Bates Jr est loin d’être le nom de cinéaste le plus connu, même si son passage dans les méandres du cinéma américain indépendant est loin d’être anonyme. Il est pourtant un fidèle habitué du festival Fantasia et c’est avec honneur et émotion qu’il est venu samedi dernier présenter son troisième long-métrage Trash Fire en compagnie de son actrice AnnaLynne McCord.
Rien de moins excitant comme titre, pour une exposition de design moderne, que Partenaires en design Alfred H. Barr, Jr. et Philip Johnson. Peut-être que le titre de cette chronique aurait été plus représentatif de la très bien faite et très belle exposition qui a présentement lieu au Musée des Beaux-arts de Montréal, dans le cadre du Programme Liliane et David M. Stewart pour le design moderne, en collaboration avec le MBAM, et ce jusqu’au 21 août 2016.
Dans l’Écosse de l’après-guerre, Douglas Brodie, ancien policier devenu soldat, puis reconverti en journaliste après sa démobilisation et un passage par la dépression, est confronté à un gang de justiciers s’en prenant aux bandits ayant échappé au système judiciaire.