La pandémie aura profondément transformé le secteur de la vente au détail. Privées de consommateurs en magasin en raison des confinements, les entreprises se sont massivement tournées vers les achats en ligne, quand elles avaient l’occasion de le faire. Selon une récente étude de spécialistes liés au magazine The Economist, cet aspect de la vente au détail devrait ainsi venir à représenter le cinquième de toutes les ventes mondiales d’ici 2025.
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L’année 2021 sera-t-elle celle de l’Afrique et de la Chine? Après un ralentissement en 2020, en raison des impacts économiques, sociétaux et médicaux de la COVID-19, cette année devrait marquer la relance de la collaboration économique – mais aussi en bonne partie politique – entre le continent africain et la Chine, indique un récent rapport du magazine The Economist.
Le produit intérieur brut (PIB) réel a augmenté de 8,9% au troisième trimestre, soit la période allant de juin à septembre, signe d’une reprise économique naissante au Canada, dans la foulée de l’éclatement de la pandémie de COVID-19.
Si l’on peut raisonnablement espérer un vaccin contre la COVID-19 dans les prochains mois, rien ne garantit que la société, elle, se relèvera rapidement des impacts titanesques provoqués par ce nouveau coronavirus. Dans un récent rapport, le magazine spécialisé The Economist trace un portrait sombre, mais néanmoins optimiste, de la reprise économique à venir.
De moteur de croissance à création maintenue en vie au prix de très importants efforts: la pandémie de COVID-19 aura réussi, en quelques mois à peine, à complètement chambouler la perception des économies nationales de 14 pays répartis un peu partout dans le monde, révèle une récente enquête du Pew Research Center. Ainsi, seuls 31% des adultes sondés estiment que la situation économique est bonne, actuellement, contre 68% qui pensent le contraire.
Les villes contemporaines, de Denver à Dubaï, pourraient apprendre une chose ou deux de la part des communautés Pueblo qui émaillaient autrefois le sud-ouest des États-Unis. Y compris le fait que plus les gens sont nombreux en un seul endroit, meilleures sont les conditions de vie.
C’est un bruit reconnaissable entre mille. Il s’élève ces jours-ci dans différentes régions de l’Est des États-Unis et symbolise la période de reproduction des cigales. Incluant des espèces dont on dit que l’émergence n’est censée se produire que tous les 13 ou 17 ans. Ce qui, pourtant, ne serait pas si clair.
La pandémie de coronavirus et le confinement qui l’accompagne font mal, très mal à l’économie canadienne, ainsi qu’à celle de la métropole québécoise. Dans une note d’information publiée plus tôt cette semaine par le Conference Board, il est ainsi mentionné que jusqu’au quart de l’économie nationale pourrait disparaître des suites de la COVID-19.
La pandémie de COVID-19 provoque déjà un rebrassage des cartes géopolitiques, et accentuera la rivalité entre les grandes puissances, en plus d’accélérer le « transfert » de l’influence occidentale vers l’Orient. Voilà le constat des experts mandatés par le magazine The Economist, dans une analyse publiée cette semaine.
Un recul plus important que lors de la crise financière de 2008: selon un nouveau rapport du magazine spécialisé The Economist, les impacts de la pandémie de coronavirus sur l’économie mondiale vont faire mal, très mal. Y compris au Canada, dont l’économie devrait se contracter d’environ 5% au deuxième trimestre de 2020.