Si la première vague de la pandémie de COVID-19 avait notamment poussé les pays riches à entrer dans une course, les uns contre les autres, pour se procurer du matériel de protection médicale, notamment des masques, des gants et tout le nécessaire pour effectuer des tests de dépistage, la deuxième vague menace encore plus d’accentuer la politisation de la crise, une tendance dangereuse contre laquelle met en garde l’Organisation mondiale de la santé (OMS).
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Un demi-siècle après octobre 1970, qu’est-il advenu des sociétés canadienne et québécoise? Dans la foulée d’un travail identitaire déjà défriché depuis des années avec l’homme de théâtre Sébastien Ricard, la metteure en scène et créatrice Brigitte Haentjens a proposé Pour en finir avec Octobre?, un balado dont le dernier épisode était présenté en direct, à Québec, samedi dernier.
Les temps sont durs pour les journalistes. En plus de devoir compenser les pertes de revenus croissantes attribuées aux médias sociaux et aux confinements successifs provoqués par la COVID-19, voilà que cette même pandémie alimente le sentiment anti-journaliste au sein d’une certaine frange de la population.
La crise canadienne en matière de logement ne date pas d’hier, et certainement pas de la mise en confinement de la population, dans le contexte de la pandémie de COVID-19. Ainsi, en date de 2018, déjà, plus de 1,6 million de ménages d’ici éprouvaient des « besoins impérieux » en matière de logement, affirme Statistique Canada dans une récente note d’information.
Dans la majeure partie du continent africain, on semble pour l’instant avoir évité le scénario catastrophe que les experts craignaient le printemps dernier. Le Détecteur de rumeurs s’est demandé si la COVID-19 avait bel et bien fait moins de ravages, ou si l’épidémie passait plutôt sous le radar.
De moteur de croissance à création maintenue en vie au prix de très importants efforts: la pandémie de COVID-19 aura réussi, en quelques mois à peine, à complètement chambouler la perception des économies nationales de 14 pays répartis un peu partout dans le monde, révèle une récente enquête du Pew Research Center. Ainsi, seuls 31% des adultes sondés estiment que la situation économique est bonne, actuellement, contre 68% qui pensent le contraire.
La famine tuera plus de personnes dans le monde quotidiennement que la COVID-19 d’ici la fin de l’année et les pays industrialisés pourraient ne pas être épargnés.
Parmi les rumeurs que cette pandémie a vu éclore, celle voulant que la COVID-19 soit le résultat d’une manipulation dans un laboratoire en Chine a la vie dure. Et pourtant, rien de nouveau sous le soleil, constate le Détecteur de rumeurs: des théories similaires ont accompagné chaque grande épidémie à travers l’Histoire.
L’interruption de la vie économique tout autour de la planète a eu une influence notable sur la pollution de l’air, comme le rappellent ces images de ciels bleus des villes et de joyaux naturels redécouverts, partagés récemment sur les réseaux sociaux. Mais pour les émissions de CO2, ce n’est pas aussi net.
La pandémie de coronavirus et le confinement qui l’accompagne font mal, très mal à l’économie canadienne, ainsi qu’à celle de la métropole québécoise. Dans une note d’information publiée plus tôt cette semaine par le Conference Board, il est ainsi mentionné que jusqu’au quart de l’économie nationale pourrait disparaître des suites de la COVID-19.