Quelle qu’en soit la raison, l’addition de deux phénomènes météorologiques pourrait apporter un répit au réchauffement généralisé de la planète, après 13 mois consécutifs de records de chaleur.
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« Il y a des choses que nous ne pouvons toujours pas prédire, et nous devons investir dans de meilleures données et dans une compréhension plus poussée des systèmes en question. Les enjeux sont trop importants pour s’appuyer sur des prédictions fragiles. »
On prédit un déclin de 42 % du courant sous-marin (le « courant marin de profondeur ») de la région d’ici 2050 — contre 19 % dans l’Atlantique Nord.
« Les nations de cette région sont actuellement mal équipées pour gérer les impacts coûteux et nuisibles de ce problème mondial, qui est gigantesque et d’origine externe. »
Ces données, écrivent les chercheurs, sont en phase avec ce que prévoient les modèles climatiques — c’est-à-dire qu’elles correspondent à ce à quoi on est en droit de s’attendre quand on recherche « l’empreinte » de l’action humaine sur ces courants océaniques.
Ces dernières années, les cartes de la planète qui montrent des records de chaleur — en rouge — éparpillés aux quatre coins du monde ont aussi montré qu’une des rares exceptions est située dans l’Atlantique Nord: une région — en bleu — plus froide que la normale. Coïncidence ou signal que quelque chose ne tourne pas rond dans le « tapis roulant océanique »?