Dans une salle de concert située quelque part dans un quartier central de Montréal, les destins de quatre individus vont s’entrecroiser le temps d’un spectacle haut en couleur, dans la fort intéressante bande dessinée De concert, rédigée et illustrée à quatre mains, et éditée chez La mauvaise tête.
Browsing: concert
Ce n’est pas la première fois que l’orchestre baroque Arion se permet une incursion dans un répertoire qui est postérieur à l’époque baroque. Pour le dernier programme de sa série montréalaise 2017-2018, Arion s’est permis de piger dans le répertoire de W.A. Mozart et dans celui de Joseph Haydn.
Ce dimanche après-midi, à la Maison symphonique, la scène était encombrée: il y avait dessus un piano et Maurizio Pollini. En fait, on pourrait dire que la salle au complet était remplie de M. Pollini et de son interprétation. Mais revenons un peu en arrière et énumérons le programme de ce récital organisé par l’Orchestre symphonique de Montréal.
Vendredi soir dernier, le quatrième concert de la série montréalaise d’Arion Orchestre baroque avait lieu sous l’archet du violoniste et chef invité russe, Boris Begelman.
L’OSM nous gâtait, en cette riche fin de saison, avec l’une des œuvres les plus poignantes du répertoire liturgique, le requiem de Verdi.
L’heure était à la promenade dans les rues chargées d’histoire de Prague, jeudi dernier à la Maison symphonique, alors que l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM) présentait un programme réunissant Mozart et Dvorak autour de morceaux évoquant la capitale de la République tchèque.
L’auteure-compositrice-interprète Helena Deland se produisait vendredi soir dernier sur les planches de la Sala Rossa de Montréal. Avec la chanteuse accompagnée de ses trois musiciens, ce concert permit au public montréalais de renouer avec l’enfant chérie de l’indie-folk québécois et d’apprécier sa mystérieuse personnalité le temps d’un concert fort agréable.
L’orchestre baroque Arion a une nouvelle amie en la personne d’Amandine Beyer. En effet, pour le troisième concert de la série montréalaise de l’orchestre, Claire Guimond, la directrice artistique a invité la violoniste et professeure française Amandine Beyer qui restera certainement dans la mémoire des habitués d’Arion. La chef invitée Beyer est non seulement sympathique, férue d’histoire de la musique et virtuose, mais elle est avant tout une véritable interprète.
La blague est facile; après tout, la symphonie Pathétique de Tchaïkovski était après tout au programme de ce concert de l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM) donné mercredi et jeudi en sa salle traditionnelle de la Maison symphonique.
Les mélomanes montréalais peuvent se targuer d’avoir assisté à l’un des plus brillants exploits de leur orchestre symphonique, qui livra une performance d’une rare élégance mardi soir.