En fait, le défaut de Barbie, le film, c’est son histoire, somme toute assez simple. La protagoniste traverse une crise existentielle qui la mènera à faire un grand voyage à la recherche d’elle-même, pendant lequel elle rencontrera des alliées. Pendant son absence, ce qu’elle considérait comme son chez soi se transforme drastiquement, et pas pour le mieux. On se croirait dans la royaume des lions sous le règne de Scar pendant l’exile de Simbra, dans Le Roi Lion…
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En se concentrant sur le serviteur de Dracula et sa rébellion contre son maître, Renfield réussit à apporter une dose de sang neuf à la classique histoire de vampire. Il ne s’agit peut-être pas d’un film très profond, mais le divertissement qu’il procure est solide, et risque de vous faire éclater de rire à de nombreuses reprises.
Ultimement, La dégustation n’est pas un mauvais film, tant s’en faut. On y compte quelques bonnes séquences humoristiques, un ancien des Inconnus toujours en moyens, et un ensemble assez sympathique pour se divertir pendant les 90 minutes réglementaires.
Ce qu’il reste de tout cela, une fois le générique affiché à l’écran, est un divertissement sympathique d’environ 90 minutes, soit juste assez de temps pour sourire à plusieurs reprises, rigoler une fois ou deux, et se dire que Jon Hamm semble avoir beaucoup de plaisir à se jouer lui-même.
Après Hereditary et Midsommar, Ari Aster nous revient avec Beau Is Afraid, un film fleuve de trois heures (!) rassemblant le drame, l’horreur, le trip psychédélique et la comédie.
Comme oeuvre de genre présentée dans le cadre d’un festival, Bungalow aurait eu ses chances. Mais comme film grand public, le long-métrage hésite trop à choisir son camp, et finis donc par se perdre dans les méandres de… quelque chose?
Pour le 83e épisode de Rembobinage, Hugo Prévost et Kevin Laforest plongent dans Fumer fait tousser, qui prend l’affiche au Québec après un passage par Cannes… Rien de moins!
Personnellement, je n’ai pas ri, ni même souri une seule fois, durant le visionnement de House Party. Même si l’on n’est qu’en mars, je pense qu’il sera difficile de trouver une comédie plus mauvaise que celle-ci cette année.
Même si on peut comprendre pourquoi le chef Slowik déciderait de tuer une douzaine de personnes pour se venger d’une carrière entière de tourments, le film se termine et l’on se dit que The Menu est bien, mais pas renversant.
Le concept unidimensionnel de Vous êtes animal aurait pu être clos en une trentaine de minutes. Au lieu de cela, on étire le « plaisir » pendant 1h40, toujours avec ce vernis de « documentaire théâtral » qui a fait son temps.