Alors que l’année 2016 tire doucement à sa fin, Pro Musica a décidé d’offrir un cadeau à l’avance en présentant lundi un récital du pianiste Lukas Geniusas au Théâtre Maisonneuve de la Place-des-Arts. Retour sur une soirée intime et puissante.
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Vendredi dernier, à la Salle Bourgie du Musée des Beaux-Arts de Montréal, avait lieu le concert d’ouverture de la 10e édition du Festival Bach de Montréal. Était servi, en ouverture du festival, un Sergeï Babayan qui aurait très bien pu faire office de plat de résistance tant il a ébloui son public en étalant une palette de nuances plus large encore que ce qu’on aurait pu croire possible avec seulement un piano.
Soirées d’amours incomprises et ultimement vouées à une fin glauque et sanglante, la semaine dernière à la Maison symphonique, alors que l’on donnait une série de morceaux choisis de Roméo et Juliette, de Prokofiev.
La saison 2016-2017 de l’Orchestre symphonique de Montréal était lancée la semaine dernière avec un programme qui ne pouvait que faire salle comble.
Sous un ciel lourd et que l’on espérait menaçant, la Maison symphonique accueillait mercredi soir les musiciens de l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM) pour l’ultime concert du calendrier régulier, le War Requiem de Benjamin Britten.
Difficile d’affirmer qui était le plus virtuose entre le chef d’orchestre russe Vasily Petrenko et le pianiste français Jean-Yves Thibaudet. Une chose est certaine, il y a de ces duos qui sont plus que complices; ils sont gagnants. C’était le cas mercredi à la Maison symphonique, alors que l’OSM livra une époustouflante prestation franco-russe digne des plus grands concerts du répertoire classique.
Il faisait bon revoir la chef assistante de l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM), mardi soir, deux semaines après son remplacement au pied levé du chef invité pour le concert consacré aux Planètes de Gustav Holst.
Concert aux ambitions astronomiques, mardi soir à la Maison symphonique, puisque l’Orchestre symphonique de Montréal présentait Les planètes de Gustav Holst. Concert, aussi, où la chef assistante de l’OSM aura eu l’occasion de sortir de la très grande ombre de Kent Nagano.
Concerti Alla Montanari, hé oui, voilà comment la directrice artistique de l’Ensemble Arion, Claire Guimond, a choisi de titrer le concert qui voyait revenir l’admirable soliste et chef invité Stefano Montanari. En effet, nombreux sont ceux qui se souviennent de son passage à la Salle Pierre-Mercure avec Arion, il y a quelque années, pour une interprétation très personnelle et tout autant spectaculaire des Quatre saisons d’Antonio Vivaldi.
Maria João Pires, dans une de ses rares (mais non moins appréciées!) visites en Amérique du Nord, a choisi de s’arrêter à l’Orchestre symphonique de Montréal pour une résidence qui se poursuivra jusqu’au Carnegie Hall au printemps 2016. C’est avec délectation qu’on l’écoute nous interpréter le Troisième Concerto de Beethoven, avec un OSM toujours aussi spectaculaire.