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Mardi soir dernier, à la Maison symphonique de Montréal, l’Orchestre symphonique de Montréal lançait sa 86e saison, avec à sa barre pour une dernière année, maestro Kent Nagano. Devant une salle comble, l’OSM n’a pas fait mentir sa réputation d’orchestre de calibre international.

Le 3 mai dernier, à la Salle Bourgie du Musée des beaux arts de Montréal, l’Orchestre baroque Arion clôturait sa 38e saison montréalaise. Intitulé Musica notturna, le programme incluait des oeuvres créées sur un horizon de plus d’une centaine d’années, de Biber à Mozart, en passant par Vivaldi, Barsanti et Boccherini. Enrico Onofri était le soliste et chef invité. Armé de son violon, il a encore une fois mené à bon port l’orchestre qui commence à bien le connaître, puisque c’est sa quatrième collaboration avec Arion.

Ce jeudi 2 mai, Kent Nagano, le directeur musical de l’Orchestre symphonique de Montréal, et André Robitaille, le porte-parole de l’été 2019 à l’OSM, ont dévoilé la programmation de La Virée classique. Cette 8e édition du festival se tiendra du 7 au 11 août 2019 et proposera une trentaine de concerts pour mélomanes de tous âges.

La semaine dernière, l’Orchestre symphonique de Montréal présentait les Rendez-vous Mozart, une programmation prestigieuse avec des invités de renommée variée, répartie sur quatre jours. Pour clore ces rendez-vous, ce vendredi, le chef invité Hervé Niquet était à la barre de l’OSM et de son chœur. Le programme était simple, mais prometteur: la Symphonie no 41 en do majeur K. 551 « Jupiter » et le Requiem en ré mineur K. 626.

Comme une caresse: il n’y a pas beaucoup d’autres mots pour décrire Sweet Apple, le nouvel album de l’auteure-compositrice-interprète torontoise Dawn Davi. Le disque, lancé à la mi-mars, donne l’occasion de reprendre son souffle, entre deux grands titres sur l’affaire SNC-Lavalin et le projet de loi sur la laïcité de l’État.

Disney continue son saccage de notre enfance pour se donner le mandat de faire rêver les nouvelles générations, mais le résultat continue d’horripiler, poussant à nouveau Tim Burton dans les bas-fonds plutôt que dans ces belles années où il savait savamment nous faire rêver. Ce remodelage de Dumbo n’est rien d’autre que pénible.

Lundi dernier, à la Salle Bourgie, avait enfin lieu le concert Tchaïkovski et Tétreault avec l’Orchestre de chambre de McGill, sous la direction de Boris Brott. On aura deviné que le Tétreault du titre c’était Stéphane Tétreault, le violoncelliste québécois dont tout le monde parle, encore. Enfin, parce que le concert a dû être reporté de plusieurs semaines pour permettre au soliste invité de guérir d’une blessure à un doigt.

Samedi soir dernier, l’orchestre symphonique de Montréal présentait un programme intitulé Alain Lefèvre et le concerto de Tchaïkovski. Le chef invité était Nicolaj Szeps-Znaider, aussi célèbre pour ses prestations à la barre des grands orchestres que pour ses enregistrements, à titre de soliste, de nombreux concertos pour violon.

Verrouillez vos portes et vos fenêtres, le seigneur des vampires erre dans les environs! La Maison symphonique accueillait plus tôt cette semaine une nouvelle édition de ses projections cinématographiques accompagnées en musique avec la présentation de Nosaferatu le vampire, chef-d’oeuvre d’horreur de 1922.