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Le cinéaste Tim Burton séjourne au Brésil au moment où l’Opération Lava Jato expose les dessous du scandale Petrobras. La chroniqueuse et écrivaine Juan Arias commente la situation dans EL PAIS.

Attendue avec impatience durant la décennie et demie qui a su faire grandir son culte, il est impossible de ne pas cacher sa déception face au produit qui nous est ici livré, alors que la suite de Zoolander nous montre une farandole d’opportunités manquées.

À force de trop vouloir en faire, l’adaptation fort attendue du personnage de bandes dessinéesDeadpool s’investit certainement dans l’irrévérence, mais préfère user de facilités à la chaîne au lieu de prioriser l’audace. Le résultat, équivalent à un délire de petits garçons qui sont tombés sur la tête à plusieurs reprises, est rapidement lassant, ça, bien sûr, si l’on implique qu’il a été ne serait-ce qu’un peu amusant ici ou là.

Les romans Harlequin se sont modernisés, mais n’ont probablement pas gagné en qualité comme se reproduisent plus vite que leurs ombres les films issus de romans de Nicholas Sparks et tous leurs équivalents. The Choice en est le plus récent fardeau.

Voué à l’échec sur papier, Heist est loin d’être révolutionnaire ou particulièrement bien fait ou ficelé. Il n’en demeure pas moins la solution idéale pour passer un sacré bon moment divertissant où l’on ne se casse aucunement la tête. Tant mieux, puisqu’il est disponible depuis peu en DVD.

À l’approche du centenaire de la révolution de 1917, le 21 et le 25 janvier, le président russe Vladimir Poutine a reproché à Lénine d’avoir imposé le fédéralisme dans l’URSS, ce qui aurait entraîné son effondrement et menacerait encore aujourd’hui l’État russe unifié et puissant. De l’autre côté du globe, l’exposition The Power of Pictures: Early Soviet Photography, Early Soviet Film présenté du 25 septembre 2015 au 7 février 2016 au Jewish Museum de New York dévoile le génie de la période révolutionnaire 1917-1932.

L’adaptation cinématographique de la série de romans The 5th Wave est passée à quelques degrés d’être la plus belle réponse à tous ces films d’ados post-apocalyptique qui nous envahissent depuis plusieurs années déjà tellement tous les clichés semblent s’être décidés à s’y retrouver. La différence par contre c’est que le tout se prend diablement trop au sérieux lui enlevant rapidement toute crédibilité et, du coup, tout intérêt.