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Il s’avère que ce n’est pas seulement pour fouiller, mais pour détecter: dans une recherche parue la semaine dernière, des biologistes décrivent des expériences menées dans un aquarium au cours desquelles le poisson a pu, grâce à ses « appendices », détecter de la nourriture qu’on avait dissimulée entre 1 et 5 cm de profondeur.  

Il faut rappeler que malgré leur mauvaise réputation dès qu’il est question de protection de la nature, les villes abritent une certaine biodiversité : les auteurs de cette étude rappellent que des collègues allemands avaient préalablement identifié à Berlin 213 espèces de plantes menacées de disparition.

Les biologistes n’ont pas d’explications quant à l’utilité de génomes aussi ambitieux. En théorie, un plus gros génome signifie une plus grosse dépense d’énergie pour l’être vivant, puisqu’il lui faut continuellement « accéder » aux parties du génome qui produisent les protéines nécessaires à son bon fonctionnement.

La bactérie P. aeruginosa est ainsi devenue ce qu’on appelle une bactérie opportuniste, c’est-à-dire qu’elle n’infecte pas les gens en santé, mais peut causer des infections chez ceux dont le système immunitaire est affaibli.

Les fourmis peuvent donc faire la différence entre les deux blessures et adapter leur comportement en conséquence. Toutefois, cela ne signifie pas que ces insectes comprennent pourquoi l’intervention est appropriée, soulignent les chercheurs dans le New Scientist. Il semble plutôt qu’il s’agisse d’un comportement inné.

D’abord démontrées en laboratoire, les conséquences des bruits maritimes sur les mollusques s’observent également sur le terrain, selon cette recherche menée à Saint-Pierre-et-Miquelon, archipel français situé au sud de Terre-Neuve.

Les scientifiques croient toutefois que cette traversée était accidentelle. Pendant qu’ils effectuaient leur voyage habituel de l’Europe vers l’Afrique, les papillons auraient été emportés par les vents au-dessus de l’Atlantique et ils auraient tout simplement continué à voler jusqu’à ce qu’ils touchent terre.

Dans des conditions normales, une perte de diversité n’aurait pas été un obstacle à leur survie. Cependant, il est possible qu’ils se soient retrouvés vulnérables à un changement rapide de leur environnement, comme une nouvelle maladie ou une perturbation climatique.