Sa trajectoire très allongée suggère qu’elle provient du nuage d’Oort, cette immense étendue au-delà des limites de notre système solaire.
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La pollution lumineuse n’est pas qu’un problème pour les amateurs d’étoiles, c’est aussi un problème environnemental.
Microbes, galaxies lointaines, manipulations génétiques et origines de l’Homo sapiens : la nouvelle année promet déjà quelques cibles incontournables.
Mondes de glace jette efficacement les bases d’un regard critique, teinté de vert (et de blanc), sur notre monde et notre existence. Il en revient sans doute à nous, ensuite, de compléter le périple.
Pourquoi n’aurait-on pas des algorithmes qui plongeraient dans des montagnes de données sur le cosmos pour en tirer des tendances cachées?
Il a été suggéré de rendre les satellites plus sombres afin qu’ils reflètent moins de lumière. En théorie, les logiciels de traitement d’image pourraient alors « s’ajuster » plus facilement. On a toutefois peu de données pour l’instant pour valider cette idée.
On connaît l’existence de cette « carte » depuis des siècles, parce que certains de ses contemporains y ont fait allusion, incluant l’astronome Ptolémée.
Aligner à la perfection les 189 capteurs pour n’en faire qu’une seule lentille géante, puis les assembler dans la caméra, est ce qui a occupé ses concepteurs dans les trois dernières années, des travaux qui auront été retardés par la pandémie de COVID.
Même si elle était rentable, l’idée signifierait tout à la fois une augmentation de la pollution lumineuse nocturne, à une époque où on tente de la réduire, et une multiplication des débris spatiaux, à une époque où on s’inquiète de plus en plus de ses conséquences.
Ultimement, c’est l’impact qu’aura cette collision sur l’orbite de cette « lune » autour de son astéroïde — 11 heures et 55 minutes pour l’instant — qui reste la raison d’être de la mission.