Il faudra tôt ou tard découvrir de quoi est composée cette fameuse matière sombre, qu’on n’a été capable jusqu’ici que de mesurer indirectement, à travers son influence gravitationnelle.
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Autrement dit, cette approche consistant à découvrir ce qui se cache à l’intérieur de chaque constituant du cosmos —à la manière des poupées russes— a bien servi les physiciens, mais une nouvelle approche est manifestement nécessaire pour aller plus loin.
Les ondes gravitationnelles pourraient peut-être, par exemple, devenir un outil pour « voir » la matière sombre et l’énergie sombre, de la même façon que, ces dernières années, elles sont devenues un outil pour « voir » les trous noirs.
Ce qui excite les astrobiologistes cette fois, c’est qu’alors qu’on avait détecté certains de ces six éléments sur ces autres mondes glacés, c’est la première fois, avec Encelade, qu’on les trouve tous les six, le phosphore étant jusqu’ici l’ingrédient manquant.
Pour l’instant, on ne connaît l’existence que de deux planètes dans ce système solaire, mais d’autres mondes pourraient être identifiés par la suite, lors d’autres observations similaires effectuées par l’équipe de recherche.
Le Soleil suit par ailleurs des cycles de 11 ans. À leur sommet, on assiste à davantage d’éruptions, et on observe davantage de trous coronaux qui, au lieu d’être concentrés aux pôles, peuvent apparaître n’importe où.
« Si vous avez une planète de la taille de la Terre, avec davantage de carbone que sur notre monde, qu’est-ce que ça veut dire pour la question de l’habitabilité? Nous ne le savons pas, et c’est cela qui est excitant! »
La possibilité qu’il y en ait des milliers d’autres autour de Jupiter et de Saturne, avancée par les deux équipes d’astronomes qui ont découvert séparément ces objets ces dernières années, ouvre la porte à une redéfinition du mot « lune ».
Jusqu’ici, la meilleure vue d’ensemble était celle provenant du télescope Hubble, depuis l’orbite terrestre.
L’idée traditionnelle des zones habitables peut maintenant être conçue comme une partie d’un concept beaucoup plus vaste de zones de calcul. Où l’on trouve de la vie, comme on le comprend présentement sur Terre, on trouve des calculs en cours, affirment les chercheurs.