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Jusqu’ici, annonce l’ESA, il a effectué 12% du travail, et d’autres mosaïques du « ciel profond » doivent être rendues publiques en mars 2025.

Clipper effectuera c ses observations depuis une orbite rapprochée autour d’Europe. Quant à Juice, il vise, comme son nom l’indique, « les » lunes glacées (Europe, Ganymède, Callisto). Mais si les Terriens qui ont envoyé ces deux sondes spatiales sont chanceux, elles pourraient se trouver au bon endroit pour analyser la composition chimique d’un de ces geysers : la présence de matériel organique pourrait être la preuve attendue. 

S’il s’appuie sur de bonnes bases, et s’il propose bien souvent des informations intéressantes efficacement vulgarisées, La Voie lactée, une autobiographie de notre galaxie s’embourbe dans une mise en contexte et un ton qui sont quelque peu en adéquation avec l’objectif de l’ouvrage. C’est bien dommage.

Les chercheurs appuient en partie leur modélisation sur des systèmes de haute pression observés bien plus près de chez nous, c’est-à-dire dans l’atmosphère terrestre. Ces systèmes, appelés « dômes de chaleur », surviennent régulièrement dans certains courants-jets, et jouent un rôle important dans le contexte d’événements météorologiques extrêmes, tels que des vagues de chaleur et des sécheresses.

Selon une estimation de la NASA, il y aurait en orbite 25 000 objets faisant au moins 10 centimètres de large —une taille suffisante pour faire un trou dans un vaisseau en cas de collision. Et peut-être un demi-million d’objets mesurant entre 1 et 10 centimètres.

Les scientifiques en savent très peu sur les interactions entre l’héliosphère et le « monde extérieur »: les seules données directes sont celles des sondes Voyager 1 et 2 qui, depuis les années 2010, sont arrivées dans la région de cette « ultime frontière » de notre système solaire.

Dans un rapport publié à l’occasion du 50e anniversaire de l’Observatoire Rothney, on pouvait lire que, en dépit du fait que l’observatoire « s’efforce de découvrir de nouvelles choses grâce à sa fabuleuse gamme de télescopes et de détecteurs, sa plus grande contribution consiste à s’associer à d’autres groupes de recherche pour vérifier et confirmer les découvertes en astronomie».

L’Observatoire fédéral d’astrophysique n’est plus depuis longtemps le « plus grand » au monde. Les exigences scientifiques étant de plus en plus élevées, l’acquisition des données se fait depuis une dizaine d’années auprès des télescopes Gemini Nord, situé au sommet du Mauna Kea, et Gemini Sud, situé dans l’hémisphère Sud, au Chili.

Au dire des scientifiques, si 55 Cancri e est bien trop chaude pour être habitable, elle pourrait offrir une opportunité unique d’étudier les interactions entre l’atmosphère, la surface et l’intérieur des planètes rocheuses, et fournir ainsi des informations sur les débuts de la Terre, de Vénus et de Mars, qui auraient toutes été recouvertes de magma, par le passé.

« Le coeur de Pluton est si froid que les pierres sont demeurées très dures et n’ont pas fondu, malgré la chaleur dégagée lors de l’impact, et en raison de l’angle de l’impact et de la vitesse assez basse, le coeur de l’impacteur ne s’est pas mélangé à celui de la planète, mais est demeuré impact, comme une tache. »