Exposition frondeuse, exposition nécessaire, cette rétrospective Marisol a cela de bon qu’elle rappelle que oui, les musées peuvent encore étonner, surprendre et aller jusqu’à nous couper le souffle. Et c’est tant mieux!
Browsing: arts visuels
L’exposition Banksyland est ridicule parce qu’elle est ridicule, tout simplement. Et ses organisateurs s’en mettent malgré tout plein les poches, alors qu’ils devraient plutôt avoir honte. Il n’y a rien de plus à dire.
Encore cette année, l’exposition nous ouvre les yeux sur différents enjeux planétaires. Impossible de demeurer de glace devant toutes ces histoires à la fois si lointaines et si rapprochées.
Malheureusement, la chose tient de l’occasion manquée. Oui, tout aborder était impensable, puisque le sujet est presque aussi vaste que la société humaine en général. Mais on aurait apprécié que l’on aille davantage au fond des choses, plutôt que de rester bêtement en surface.
Plus que jamais près des citoyens, la Biosphère poursuit sa mission de rapprocher l’humain et la nature, en intégrant la culture et l’innovation sociale à ses enjeux, en digne représentante du complexe muséal d’Espace pour la vie.
Katherine Johnson, Mary Jackson, Donna Strickland, Vera Rubin, Jocelyn Bell, Lise Meitner et Amalie Emmy Noether. Des noms que nous devons continuer de perpétuer, pour nous rappeler le chemin qui a été fait depuis, et celui qui nous reste encore à parcourir.
La directrice générale de l’Association des galeries d’art contemporain, Julie Lacroix, estime que « Plural entame donc son prochain chapitre avec l’objectif de devenir un rendez-vous incontournable à l’agenda de tous les collectionneurs canadiens pour répondre aux visées de rayonner davantage à l’extérieur du Québec. »
Que dirait Walter Benjamin, aujourd’hui, des œuvres entièrement conçues sur des ordinateurs, voire par le biais de l’intelligence artificielle? C’est à cette question que nous fait réfléchir l’artiste Amer Rashid dans une exposition – installation présentée au Dépanneur café dans le Mile End, à Montréal
Au-delà de son aspect contemplatif, FRAMERATE : Pulse of the Earth pose un regard critique sur les changements environnementaux exacerbés par la présence humaine et sur la documentation perpétuelle de nos environnements par le biais de la technologie mise à la disposition de tous.
Que retenir de Basquiat au terme de ce cycle au MBAM? Une certaine nostalgie d’une jeunesse carburant aux platines, certes, mais surtout, un nouvel éclairage sur un être dont les études des chercheurs de l’art n’ont pas encore circonscrit.