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Si une foule de Péruviens cherchent à s’installer en périphérie de leur capitale, ils ne se soumettent pas à son ordre pour autant. La série Lima à l’heure du facteur C réalisée par Lloyd Pasqualetti avec la collaboration de l’Office national du film du Canada (ONF) et diffusée au Canal Savoir rend compte de cette nouvelle organisation sociale.

Du conflit colombien à la bohème montréalaise, l’auteur Edwin Bermudez s’inspire de son vécu dans son recueil de nouvelles Contes héroïques paru chez Mon Petit Éditeur en 2017. Le lancement du livre aura lieu le 2 avril à l’EtOH Brasserie, dans le quartier Villeray, à 17 heures.

Vous êtes-vous déjà imaginé dans la jungle humide du Honduras, coupant d’une machete acérée les branches sur votre passage? Évitant les araignées et autres jaguars, pour tenter de retrouver une des cités les plus mystérieuses et légendaires de notre ère?

Le Centre Segal présente The Refugee Hotel du Teesri Duniya Théâtre, une pièce bilingue anglais-espagnol (surtitres) racontant l’histoire de ces Chiliens ayant fui la dictature de Pinochet et trouvé refuge au Canada dans des hôtels où ils étaient accueillis temporairement. C’était un autre 11 septembre dont on parle moins, celui de 1973. Dans ces lieux d’hébergement, la nouvelle vie de ces réfugiés politiques commençait.

À partir du début des années 1990, il y a eu une augmentation des familles monoparentales aux États-Unis et au Canada. Une étude de la Banque Interaméricaine de Développement ( BID) note une tendance similaire au Brésil et en Équateur, rapporte El Pais le 28 octobre.

« Je suis originaire d’« Afrique », mais je partage la même identité que tous ceux qui sont arrivés ici et qui vivent ici », a lancé une participante lors de la table ronde du Centre de recherche en immigration, ethnicité et citoyenneté ( CRIEC ) qui portait sur la construction de la citoyenneté et de l’identité à travers les mobilisations sociales latino-américaines le 12 septembre à l’UQAM. Les cinq conférenciers étaient plutôt d’avis que les mouvements sociaux mènent des luttes séparées pour leur affirmation citoyenne.

Connue sous le nom de « route de la mort », le tronçon sur une distance de 80 km qui relie la capitale de la Bolivie, La Paz à Coroico dans la région des Yungas est la plus dangereuse des routes d’après le palmarès du quotidien espagnol El País du 17 août. La route étroite aux multiples courbes longeant des falaises à 4650 mètres de hauteur a fait jusqu’à 300 morts par année.

La fin du cycle « populiste » a généré des attentes qui se sont transformées en désarroi, soutient le collaborateur uruguayen au quotidien argentin La Nación, Tomás Linn, le 10 août. Ce dernier passe en revue la situation du Venezuela, du Brésil et de l’Argentine.