Même le Centre européen de prévention des maladies n’écartait pas le risque, en juillet dernier, que la maladie ne fasse un jour son entrée sur ce continent.
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L’ensemble forme une expérience théâtrale unique, dans la tradition du théâtre sud-américain.
Bien entendu, Richelieu est un film de fiction. Très, très près du documentaire, mais un film de fiction malgré tout; c’est peut-être là son seul défaut. Pour ceux qui aimeraient naviguer davantage dans le concret, il y a l’excellent documentaire Essentiels, qui parle de la question des travailleurs étrangers temporaires, notamment dans le contexte de la COVID. Mais autrement, ce premier long-métrage de Pier-Philippe Chevigny est tout à fait solide.
« L’urgence de cette situation ne permet pas d’attendre ; il est de notre devoir collectif, et pas seulement de celui du Panama, d’apporter des solutions humaines et durables qui empêcheront de nouvelles tragédies. »
« Les perceptions des consommateurs sont ambiguës. Ils font confiance à la réputation d’iFood, et croient que cela protègera leurs commandes, mais en même temps, ils ne considèrent pas que la marque est responsable de leur sécurité alimentaire. »
« C’est comme un avertissement, comme le canari dans la mine. Il n’y a rien que nous puissions faire pour stopper des changements à si grande échelle. Mais le fait d’être au courant de ce phénomène nous aidera à mieux prévoir l’avenir. »
Les chercheurs. ne s’entendent pas sur ce que serait le point de bascule: les estimations varient entre 20 et 30 % de déforestation (on est actuellement à 17 %). Mais chose certaine, il ne faut pas attendre d’avoir coupé toute la forêt avant de voir le système se détériorer.
L’étude offre, selon ses auteurs, de nouvelles informations à propos de la façon dont le climat et la disponibilité de l’eau peuvent interagir avec le bien-être humain et l’instabilité sociale à travers le prisme de la sécurité alimentaire.
La photojournaliste Sarka Vancurova s’est rendue sur place pour rencontrer les « caminantes », ces migrants qui espèrent pouvoir entrer aux États-Unis, notamment à l’aide d’une nouvelle application qui peine à répondre à la demande.
Le nombre de Vénézuéliens ayant emprunté cette route migratoire, afin de fuir un pays toujours aux prises avec une très grave crise économique, politique et sociale, a été multiplié par 50, avec un total de plus de 150 000 personnes jetées sur les routes de la jungle.