Quatre ans après un premier volet bien reçu par la critique, le studio montréalais Red Barrels lance Outlast 2, un nouveau jeu d’horreur à la première personne. Exit l’hôpital psychiatrique du premier jeu; le nouvel environnement est celui du sud des États-Unis, où une journaliste et son mari cameraman enquêtent sur une étrange affaire.
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Vitaly Mansky a réussi quelque chose de particulièrement intéressant: montrer le « vrai » visage de la Corée du Nord. Et le résultat, un documentaire intitulé Under the Sun qui sera présenté jeudi le 27 avril au Cinéma du Parc, dans le cadre de la série de projections mensuelles RIDM+, mérite d’être vu, particulièrement alors que les tensions sont de nouveau reparties à la hausse dans la région.
Annoncé comme un vent de fraîcheur dans le cinéma de genre, l’intrigant Colossal met effectivement beaucoup de coups de vent en scène, mais pour finalement bien peu de remous dans les terrains qu’il ose bien titiller.
Cinéaste d’exception de thèmes pourtant d’un grand classicisme, James Gray s’est taillé un nom en romançant sa vision du monde dans quelque chose d’aussi brutal que romanesque. Et dans toute l’ironie qui le compose, tout comme qui compose son cinéma, c’est avec sa fresque la plus grandiloquente et ambitieuse à ce jour qu’il pourrait bien, avec le splendide The Lost City of Z, avoir créé l’une de ses œuvres les plus intimistes à ce jour.
Un montage dynamique de plans découpés le long d’une trame sonore enlevante, plusieurs ont monté dans la locomotive Trainspotting (1996) réalisé par le cinéaste britannique Danny Boyle à l’époque. Mark, Sick Boy, Spud… et Begbie se retrouvent à la station de train dans la suite T2 (2017), aux sons du va-et-vient de la gare.
François Ozon continue de surprendre et de dérouter avec Frantz, cette ode à la beauté sur fond de drame, d’histoire et d’horreur pour faire hommage au septième art à sa façon. Un film touchant fait avec élégance.
Les Power Rangers ont toujours été synonymes de créativité, de folies, de liberté et, surtout, d’aventures tordues, peu importe les limites de notre logique, ou du quelque peu de réalisme qu’il reste au genre fantastique ou à la science-fiction. Les choses ont bien changé, puisque cette nouvelle version de la populaire franchise, adaptée visiblement pour les jeunes adultes d’aujourd’hui, est tellement formatée et torturée qu’on se demande longtemps où diable est passé le plaisir d’antan.
Adapté d’un roman graphique par l’auteur lui-même, Wilson aurait dû être amusant, éclaté et réfléchi, ce qu’il n’est que bien peu, malgré le bon vouloir de toute l’équipe autant devant que derrière la caméra.
Pour s’assurer que sa famille évite l’éclatement, Gilbert Perez se découvre des talents de fraudeur téléphonique sans précédent. Dans le film Je compte sur vous, le réalisateur Pascal Elbé fait appel à l’acteur Vincent Elbaz pour se glisser dans la peau de cet arnaqueur patenté.
« In fifty years, we all gonna wake up and realize that none of the stuff that we did matters. » Cela peut sonner dramatique, mais la plus récente comédie de Craig Johnson, qui nous a donné True Adolescents et le plus récent The Skeletons Twins, nous plonge en rigolant dans l’univers cynique et solitaire de Wilson.