L’OMS cherche à clarifier et baliser ce domaine plus que controversé.
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Des chercheurs ont réanimé des spécimens d’un champignon qui provoque le flétrissement du caféier pour découvrir comment la maladie a évolué, et comment la contamination peut être évitée.
Les premiers scientifiques qui ont péniblement reconstitué les génomes d’humains ayant vécu il y a des milliers d’années, auraient eu de la difficulté à croire qu’à peine deux décennies plus tard, on en serait rendu à pouvoir étudier les gènes… des microbiomes de ces mêmes humains.
Ce sont les plus vieux décodages de génomes d’Homo sapiens: 43 à 46 000 ans. Et ils contiennent deux surprises: plusieurs de ces premiers Homo sapiens d’Europe avaient des Néandertaliens dans leur arbre généalogique; et ces Européens ne sont pas reliés aux actuels Européens.
Inutile de dire qu’au plan scientifique, tout ce qui tourne autour de la COVID — en particulier les vaccins et les variants — sera suivi de très près cette année. Mais à quoi d’autre faut-il s’attendre en 2021?
Parmi ceux qui craignent les nouveaux vaccins contre la COVID-19, on entend parfois l’argument selon lequel les nanoparticules qu’ils contiennent pourraient atteindre le cerveau et y causer des dommages. Cette rumeur est-elle fondée? Le Détecteur de rumeurs est remonté à la source.
Depuis une dizaine d’années, l’arbre généalogique de nos ancêtres préhistoriques s’est complexifié. À l’Homo sapiens et au Néandertalien se sont ajouté de nouvelles espèces qui provoquent bien des débats chez les paléontologues. À défaut d’avoir une réponse par les ossements, l’étude des protéines pourrait lever un peu le voile sur le lien entre « eux » et « nous ».
Une séquence génétique héritée des hommes de Néandertal pourrait augmenter les risques de réactions graves à la COVID-19, selon une nouvelle étude.
Grâce à sa capacité à modifier l’ADN, la technologie CRISPR suscite beaucoup d’espoirs pour le traitement des maladies génétiques. Toutefois, il reste du chemin à faire: des études révèlent que ça pourrait faire disparaître des portions du génome, voire des chromosomes entiers, chez les embryons humains.
Des tombes anonymes subsistent dans de nombreux vieux cimetières québécois. La génétique pourrait-elle lever le voile sur ces restes humains, si elle va chercher l’aide de la généalogie?