Bijou de style et d’inventivité, Godzilla Minus One est la preuve qu’il est possible de faire un grand, voire un très grand film, sans engloutir une fortune dans le procédé. Il suffit d’avoir de bonnes idées et de savoir les transposer sur grand écran.
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Bien exécuté, bien présenté, bien accompagné par une trame sonore qui plaira aux amateurs d’électronique, Robobeat n’a rien à se reprocher. Si ce n’est, peut-être, une certaine limitation auto-imposée, sous-genre oblige.
Jeu créant aisément une dépendance, jeu très réussi, mais aussi jeu entraînant sa dose de frustration, Hexguardian est une déclinaison franchement intéressante du tower defense qui saura se déguster en petites, ou encore en grosses doses.
Titre très solide, malgré quelques imperfections qui auraient pu être gommées au passage, V Rising plaira non seulement aux amateurs de construction et d’exploration, mais aussi à ceux qui aimeraient bien améliorer leur apport en fer, quitte à planter leurs crocs dans une jugulaire bien tentante après un combat féroce.
En fait, pour que The Ministry of Ungentlemanly Warfare fonctionne, il aurait fallu en faire un Inglorious Basterds, dont le scénario et les personnages (y compris le grand méchant, joué par Christoph Waltz) sont à des années-lumière de ce que Ritchie semble être capable d’imaginer. Et donc, ce nouveau film est malheureusement passable, sans plus.
Sans être aussi mémorable (ou aussi beau) que Ghost of Tsushima, Rise of the Ronin offre une expérience d’une très grande qualité, et les joueurs s’amuseront ferme durant la soixantaine d’heures requise pour compléter le titre.
Si vous cherchez un film profond avec un scénario intelligent et une psychologie de personnages fouillée, The Beekeeper n’est pas pour vous, mais pour les amateurs d’action, d’explosions et de combats frénétiques, le long-métrage de David Ayer se présente comme une sorte de John Wick doté d’un soupçon de conscience sociale.
Il est donc indéniable que The Fall Guy est un blockbuster bonbon. Il y a tout ce qu’on peut aimer, tout comme assez de volonté pour titiller notre intérêt. Il est peut-être par contre temps de considérer le fait que Leitch n’a pas l’étoffe nécessaire pour entièrement mettre en scène toutes ses idées et leur donner un style, mais surtout un rythme qui mériterait entièrement notre attention.
Hugo Prévost et Kevin Laforest se salissent les mains pour venger leur honneur bafoué et explorer ce film coup-de-poing, dans tous les sens du terme.
Avec plusieurs avantages en sa faveur, ArcRunner donne malheureusement l’impression de ne pas avoir été optimisé, que ce soit du côté de sa difficulté, de l’effet parfois punitif des options imposées au hasard, ou encore de ses mécaniques liées au mouvement. Rien pour entièrement gâcher l’expérience, mais cela demeure malgré tout un irritant.