« Terminator rencontre Predator »; voilà comment un internaute présentait le film Kill Command dans la section spécialisée en cinéma de l’agrégateur de contenu Reddit. Malheureusement, se comparer à deux classiques du film d’action et de science-fiction ne veut pas dire en être l’égal.
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On ne sait trop que penser de Grim Dawn. Le jeu de rôle et d’action, développé par Crate Entertainement, est sur les tablettes depuis la fin février, après quelques années en accès anticipé, mais son inclusion dans le Humble Bundle Monthly du mois d’octobre permet de s’y plonger allègrement sans remords. Mais le résultat n’est pas nécessairement à la hauteur des attentes.
Sauter de camion en camion jusqu’au fil d’arrivée. L’idée paraît simple, et elle l’est. Mais grâce à l’esprit légèrement tordu des développeurs de chez Landfall, Clustertruck offre un divertissement plus que solide, avec force explosions et mouvements frénétiques.
Noir. Blanc. De la vitesse. Des réflexes. Des explosions. Des tirs frénétiques. Inversus, un jeu d’action et de rapidité développé par Ryan Juckett, débarque sur Steam et sur PlayStation 4 avec un concept simple et original qui lui permet d’être particulièrement efficace et divertissant.
Dans le royaume de Caldaria, seule la force permet de s’imposer. Et c’est justement par l’épée que le joueur, nouvelle pièce sur l’échiquier du pouvoir, régnera éventuellement sur l’univers de Mount and Blade Warband.
C’est un foutoir particulièrement pitoyable que représente le Criminal de Ariel Vromen, qui a à peine l’étoffe nécessaire pour être qualifié d’ambitieux. Comme quoi le spectateur se fera berner par l’impressionnante distribution qui s’est probablement fait offrir un film bien plus intéressant que celui qui nous est livré au final.
Dans l’ultime dilemme à savoir si trop c’est trop ou trop c’est comme pas assez, disons que Marvel (sous la gouverne de l’impitoyable Disney) commence à se faire roi, produisant à nouveau un produit générique qui ne manque certainement pas d’éléments intéressants, mais offrant bien peu de profondeur pour en justifier l’ensemble. Reste alors une formule néanmoins gagnante qui continue d’avoir toute une longueur d’avance sur DC Comics, proposant à la ligne près la même prémisse que Batman V Superman: Dawn of Justice sans le pathétisme de ce dernier.
Alors que la réalité virtuelle prend peu à peu d’assaut notre 21e siècle, Hardcore Henry a envie de révolutionner le cinéma et d’offrir une proposition qui ne manque certainement pas d’audace. Dommage, toutefois, que ses tours de passe-passe soient tous sauf suffisants pour impressionner, lassant plus rapidement qu’autrement son spectateur au lieu de l’emplir d’énergie.
Ah, Frankenstein… ou plutôt son monstre, même si le second a tendance à prendre la place du premier dans l’imaginaire collectif. Aux pieds de l’oeuvre monumentale de Mary Shelley sont venus s’échouer quantité d’adaptations cinématographiques, et Victor Frankenstein, la dernière en date, ne fait hélas pas exception.
Deux fils à papa mégalomanes, mais dépressifs, cachant tous deux une identité secrète, décident de se livrer une guerre sans merci dans un jeu de chat et de souris contrôlé sournoisement par un millionnaire psychotique. Dans tout autre film ce serait le synopsis d’un sérieux cas de démence, mais ici, c’est la prémisse d’un nouvel univers interminable de superhéros en guise d’histoire, si l’on ose accepter qu’il y en a bien une…