Hugo Prévost et Kevin Laforest discutent de ce long-métrage scénarisé, réalisé et coproduit par le bien connu Viggo Mortensen.
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J’ai été agréablement surpris par The Fall Guy, un film qui accorde aux cinéphiles un regard privilégié sur la façon dont les long-métrages sont faits, et ce long-métrage de David Leitch plaira autant à ceux et celles qui apprécient autant l’action débridée que la comédie.
Toujours un sans faute sur le plan de la technique, Saving Private Ryan demeure un film marquant de l’histoire hollywoodienne. Force est d’admettre, toutefois, que l’esbroufe visuelle ne remplace pas un scénario très ordinaire et des personnages peu attachants que l’on fait disparaître au compte-gouttes, sans que cela ne nous affecte réellement.
Hugo Prévost et Chloé Baril s’amusent franchement avec ce film sud-coréen débordant de violence et d’humour, et donc tout à fait désigné pour le festival Fantasia.
Twister était assurément en avance sur son temps, alors que les changements climatiques donnent de nos jours naissance à des saisons des tornades de plus en plus dévastatrices, et cette version remastérisée en ultra-haute définition constitue le prétexte parfait pour voir (ou revoir) l’un des meilleurs films catastrophe jamais réalisés.
Une proposition comme celle-là n’arrive pas tous les jours et même si beaucoup essaieront d’en copier le modèle, c’est fort probablement une occasion qui ne reviendra plus jamais (ce sera difficile de réunir avec autant de timing tous les éléments gagnants pour un succès comme celui-ci). Deadpool & Wolverine ne changera pas le monde, mais il offre tout un divertissement.
Hugo Prévost and Robert Hiltz talk old game mechanics, possible market saturation and gunning down monsters with Alex Lotz, managing producer at Ziggurat.
Twisters n’est donc pas votre film catastrophe habituel, et c’est tant mieux. La présence improbable, mais aussi gagnante que compétente du cinéaste derrière le film Oscarisé Minari y est d’ailleurs certainement pour beaucoup.
Ultimement, que les singes soient maîtres du monde ou pas ne change largement rien, dans ce Kingdom of the Planet of the Apes. On a quand même droit aux clichés éculés du genre. Le tout avec une réalisation générique de la part de la personne à la barre des Maze Runner. Rien, bref, pour être autre chose qu’un divertissement franchement banal.
Il n’y a rien de mal à tenter sa chance et souhaiter donner vie à sa vision, lorsque vient le temps de créer un jeu vidéo. Mais One Way Road: Firehunt est si… beige, si ordinaire, si banal, si oubliable. Pas mauvais à un point tel que l’on finirait par s’en rappeler, ne serait-ce que pour le maudire. Juste… ennuyeux. Mal ficelé. Bref, même s’il est gratuit, passe votre tour.