Face à la tangente toujours plus légère et humoristique, après l’opus le plus sombre de tout le MCU histoire de célébrer avec panache une décennie d’existence, il fallait bien s’attendre à retrouver un niveau de récréation considérable pour alléger l’atmosphère après la fin dévastatrice de Avengers: Infinity War.
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Il y a des choses qui ne changent pas: la nécessité de payer ses impôts, l’immensité de l’univers, et la passion des gens de chez Stardock pour les jeux se déroulant quelque part loin, très loin d’ici. Alors que les grands titres publiés par ce studio sont offerts à prix réduit, le temps de la traditionnelle vente estivale de la plateforme Steam, voilà que les développeurs planchent sur la prochaine pierre de l’édifice: Star Control: Origins.
Hollywood frappe à nouveau, et ne peut se contenter de laisser les œuvres de qualité supérieure se satisfaire d’elles-mêmes. Voilà donc qu’on doit s’empresser d’offrir une suite au magnifique Sicario de Denis Villeneuve, en ouvrant la voie à ce qui pourrait bien devenir une trilogie, alors que les idées de Taylor Sheridan finissent par perdre de leur superbe sans la prise en charge visionnaire d’un de nos Québécois favoris.
Plus vite, toujours plus vite. C’est pied au plancher qu’il faut parcourir l’univers d’Antigraviator, un jeu de course futuriste développé par les gens de chez Cybernetic Walrus et publié par Iceberg Interactive. Pied au plancher, oui, mais aussi sourire aux lèvres… même si l’on a tout à la fois les mains crispées sur la manette pour tenter de retrancher une fraction de seconde et ainsi remporter la partie.
À Moscou, la ballerine Dominika Egorova est forcée de se tourner vers le monde secret et violent de l’espionnage après s’être cassé la jambe sur scène. Macabrement poussée vers les services de renseignement par son oncle, directeur adjoint du SVR – les renseignements extérieurs russes -, la jeune femme se retrouvera coincée dans une sombre histoire d’agents doubles qui n’est hélas pas à la hauteur des classiques du genre.
Parfois, un simple malentendu peut donner naissance à une véritable comédie d’erreurs, et c’est exactement le cas de Game Night, un film mettant en vedette Jason Bateman et Rachel McAdams.
Cent fois sur le métier, remettez votre ouvrage? Soucieux de corriger les nombreuses lacunes de la première version de leur titre, voilà que les développeurs de chez Streumon Studio viennent tout juste de lancer une version améliorée de leur jeu de tir à la première personne Space Hulk: Deathwing. Et le résultat est fort satisfaisant.
Dans un monde où le cinéma est largement dominé par les superhéros portant capes et collants, le réalisateur Clint Eastwood rend hommage à trois héros ordinaires, mais bien réels, avec le film The 15:17 to Paris.
I’m not ashamed to admit, but Deadpool 2 worried me. I thought the first movie hit it out of the park. It was awesome when it needed to be, funny when it counted, with enough charm to make it enjoyable.
Ce qui causa la perte de notre aventurier, ce ne fut pas la créature mort-vivante qui courait vers lui à toute vitesse, ou encore l’inexorable marche du temps qui, parvenu à la fin de son voyage, condamna notre héros à une mort certaine. Non, ce fut plutôt ce piège, pourtant évité à l’aller, qui se déclencha sous les pieds imprudents de notre héros. Dans City of Brass, les erreurs ne pardonnent jamais, aussi bêtes soient-elles.