Hugo Prévost et Kevin Laforest s’intéresse à ce film scénarisé et réalisé par Jeremy Saulnier qui surprend par son désir de s’éloigner des clichés du genre.
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S’il était paru dans les années 1990, Bloodhound aurait peut-être pu faire un tabac, mais avec l’immense quantité de jeux de qualité disponibles de nos jours, il y a peu de raisons de se procurer ce titre, sauf peut-être pour les nostalgiques en quête d’une expérience rétro.
As the 1.0 version rolls around, the creators of the survivors-like Halls of Torment, Chasing Carrotts, talk about their game, its unexpected success and their plans for the future.
The Killer, malgré son côté parfois un peu mièvre, demeure un divertissement solide. L’occasion de voir un John Woo encore bien en selle, à qui on semble heureusement donner les moyens de ses ambitions.
Si l’idée de base d’Exophobia a certainement du bon, l’exécution laisse à désirer. Surtout dans un contexte où les jeux de tir rétro se comptent par dizaines, qu’ils ressemblent à Corridor 7 (ou Wolfenstein 3D) ou non. À éviter, donc.
Sans délaisser l’action survoltée et la violence ayant fait la réputation de la franchise, ce nouveau chapitre élargit de façon très satisfaisante le monde postapocalyptique et sa mythologie, ce qui en fait un film à voir absolument pour tous les amateurs de Mad Max.
Si l’ultime épisode vient en quelque sorte boucler la boucle, impossible de ne pas juger que The Umbrella Academy aurait mérité mieux comme dernière saison. Après tout, nous nous étions rapidement attachés à cette famille aussi dysfonctionnelle qu’étrangement adorable. Mais il y a sans doute une limite au nombre de fois où l’on peut à la fois détruire l’univers et le sauver de nous-mêmes…
Le Comte de Monte Cristo possède les bases d’une savante comédie, mais on a choisi le sérieux, ici. Reste alors à chaque spectateur de décider s’il adhère ou non à l’ensemble, devant cet étalage compétent de talent, mais dont les chemins empruntés peinent souvent à convaincre véritablement, au-delà de ce mirage de bonne fortune.
En regardant Borderlands, on se dit que la chose est bien dommage, car il y a une telle énergie qui se dégage à la fois de cet univers – qui est vibrant, créatif et coloré – et des personnages qu’on a presque envie de se dire qu’on voudrait leur donner une deuxième chance. À condition, bien sûr, de leur trouver un cinéaste qui aura plus à coeur l’univers et ce qui le compose que le résultat qu’il est possible d’en tirer.
Bref, en l’état, CyberCorp ressemble trop à beaucoup d’autres titres ayant chacun leur avantage pour être en mesure de se démarquer. Peut-être que le jeu trouvera son salut dans des ajouts et des modifications apportées au cours de la suite du développement. Peut-être qu’il est nécessaire d’y jouer en mode coopératif pour s’amuser vraiment. Mais pour l’instant, l’ensemble de la chose a des teintes un peu trop beiges pour son propre bien.