Vingt-cinq ans! Doom, classique parmi les classiques du jeu vidéo, soufflait cette semaine ses 25 ans. Et à cet âge plus que vénérable pour le milieu du divertissement numérique, le titre demeure un incontournable qui n’a pas pris une ride. Ou si peu.
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Il y a eu le livre, puis le jeu: le retour sur Metro 2033, oeuvre de science-fiction russe quelque peu déjantée, ne serait pas complet sans jeter un coup d’oeil au jeu de tir à la première personne du même nom, sorti en 2010, soit au même moment où le roman de Dmitry Glukhovsky paraissait en langue française.
Développé par le studio canadien Kerberos Productions, Sword of the Stars est un jeu de type 4x – pour expand, explore, exploit et exterminate, soit prendre de l’expansion, explorer, exploiter les ressources et exterminer les adversaires – mettant aux prises diverses races dans une galaxie pouvant compter plusieurs centaines de planètes. À l’aide de flottes massives et d’avancements technologiques, le joueur devra savoir s’imposer maître de l’univers.
À sa sortie, Star Wars: Empire at War avait été salué par la critique, mais pas nécessairement encensé. Nous étions en 2006, et le regretté éditeur LucasArts tentait un mélange assez peu vu pour un jeu de stratégie: combiner combats dans l’espace et affrontement au sol. Le tout assaisonné à la sauce Star Wars, bien sûr. Onze ans plus tard, le titre est toujours là, plus populaire que jamais, grâce à l’enthousiasme un peu fou des amateurs de la saga.
Ah, l’an de grâce 2006… Fort de son succès culte Morrowind, le studio de jeux vidéo Bethesda Softworks lance Oblivion, quatrième titre « officiel » de la saga The Elder Scrolls. Onze ans plus tard, le titre semble à jamais coincé entre la nostalgie éprouvée envers son prédécesseur et l’incroyable longévité et modularité de son successeur, Skyrim.
Ah, Red Alert… l’un des très, très grands classiques des jeux de stratégie en temps réel. L’un de ceux qui ont à ce point influencé le genre qu’on en trouve encore des traces dans les titres d’aujourd’hui. Mais à l’aune d’une franchise qui aura eu ses hauts et ses bas en près de 20 ans, force est d’admettre que la nostalgie imprime peut-être sa teinte rosée aux souvenirs.
Dans un bunker caché quelque part sous une montagne, un commandant a le regard fixé sur une carte du monde où clignotent des symboles colorés. Soudain, la pièce tremble: une bombe vient de tomber non loin de là, détruisant l’aéroport militaire voisin.
La route. Le désert. Le bruit des moteurs. Alors que le studio Double Fine lancera, le mois prochain, une version remasterisée du classique de LucasArts sorti en 1995, il est plus que temps d’enfourcher notre bécane et de filer à toute vitesse sur les routes sinueuses de Full Throttle.
There is something to be said about great game design. A good game will keep you entertained for a few hours. Maybe more if it’s quite interesting. A great game will keep you coming back for nearly ten years. Fortunately, Supreme Commander: Forged Alliance is a great game. And a decade after it came out, it’s still one of the best of the genre, if not the best.
Dans le royaume de Caldaria, seule la force permet de s’imposer. Et c’est justement par l’épée que le joueur, nouvelle pièce sur l’échiquier du pouvoir, régnera éventuellement sur l’univers de Mount and Blade Warband.