Starship Troopers: Extermination procure un plaisir indéniable, surtout si on y joue avec des amis, mais il est quand même étonnant que le titre se soit fait damer le pion par Helldivers 2, dont l’expérience reflète beaucoup mieux le ton parodique du film de Verhoeven.
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Il est fort probable que l’on replonge dans Kill Knight, ne serait-ce que pour cette dose d’adrénaline qui circule dans nos veines lorsque l’on réussit à survivre ne serait-ce que quelques secondes de plus. Mais il faut certainement admettre que la difficulté particulièrement importante de ce titre en découragera plus d’un.
Laid, ennuyeux, mal exécuté… Flaak TD est un ratage complet. Même des jeux du genre de l’époque des animations Flash étaient plus efficaces et agréables. À éviter absolument.
Puisque l’on n’est pas simplement spectateur, mais bien partie prenante de l’intrigue, Until Dawn s’avère plus efficace pour causer des palpitations et des sursauts que bien des films d’horreur, et cette version aux graphiques rehaussés permettra à tous ceux et celles n’ayant pas encore joué au titre de découvrir ce classique du genre.
But the crazy enemies, the weird (but realistic) level design, the freaky music, the cheesy full-motion video cutscenes… everything combines into a fascinating game that benefits greatly from this remaster. Oh, Killing Time: Resurrected is not perfect by any means, but it is indeed a cult classic that deserves to be played.
Audacieux, rafraîchissant et violent à souhait, Dieseldome: Oil and Blood, même en version de démonstration, est savoureux et franchement divertissant. On a bien hâte à la suite.
Mal ficelé, sans mécaniques de jeu véritablement originales – à l’exception de la construction un peu bancale de bâtiments –, et reprenant maladroitement les aspects d’un jeu autrement plus efficace et de meilleure qualité, Achilles: Survivor, même en version démo, frôle franchement la perte de temps. À éviter.
Oui, le concept derrière The Mortuary Assistant est unique et intéressant, mais si le titre vous intrigue, il est fortement conseillé d’y jouer sur PC, avec une souris et un clavier, afin de diminuer les nombreux irritants sur consoles qui donnent à l’expérience l’impression d’être davantage une corvée qu’un jeu.
Ceux qui ne cherchent pas à combler un vide après avoir fait le tour du jardin dans d’autres jeux de gestion de colonie – qui ont majoritairement le défaut d’être trop répétitifs à partir du moment où on les maîtrise – pourraient tout de même vouloir attendre la version finale de Norland, au terme de l’accès anticipé, pour y jouer.
Sans réinventer la formule du jeu de plateformes, Astro Bot est un titre d’une grande qualité, qui saura satisfaire autant les petits que les grands avec son expérience rendant hommage aux trente ans de la PlayStation. Du pur plaisir!