C’est cette ambivalence qui gâche le plaisir de Forgive Me Father 2. Le titre n’est certainement pas à jeter aux orties, mais cette incapacité de se brancher fait en sorte que l’on se lasse rapidement. Il est fort possible que les choses s’améliorent par la suite; cette possibilité demeurera un mystère connu uniquement des Grands Anciens.
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Gadgets, écouteurs, jeux de société, jeux vidéo… Nos journalistes vous proposent leurs coups de coeur de l’année 2024.
Lettre d’amour à un style de jeu qui n’existe plus, du moins, certainement pas sous cette forme, Beyond Shadowgate témoigne d’une minutie et d’un sens du détail qui fait aux développeurs. Dommage, cependant, que cette volonté de calquer un titre sorti en 1987 signifie s’astreindre à des aspects franchement passés date.
Hugo, Alexandre et Louis-Gabriel discutent des titres qu’ils ont particulièrement appréciés. Ceux, comme BALATRO, RIVEN VR et ELDEN RING: SHADOW OF THE ERDTREE, dans lesquels ils ont englouti beaucoup (beaucoup!) d’heures.
For this 25th episode of SVGA, Hugo and Robert talk about this first person shooter that defined « cool » and « edgy » almost three decades ago.
Il y a beaucoup de bonnes choses, dans Songs of Silence. Mais on a malheureusement l’impression qu’au-delà de l’esthétique, les développeurs ne savaient pas trop comment proposer une expérience plus complète. Nous sommes donc aux prises avec quelque chose de décevant, qui aurait mérité plus d’amour et de complexité.
Le temps des Fêtes qui est à nos portes sera sans doute propice à la construction de mondes virtuels, un casque enfoncé sur la tête. Il ne s’agit pas encore de plonger carrément dans cet univers numérique, comme dans le classique de science-fiction TRON, mais cette réalité semble se rapprocher toujours un peu plus.
Horizon Zero Dawn frôlait déjà la perfection, mais avec ses graphiques visiblement améliorés, cette version remastérisée mérite encore plus le détour, autant pour ceux qui n’ont pas encore eu la chance d’y jouer que pour ceux qui souhaitent replonger dans cet univers aussi riche que prenant.
Hugo Prévost reçoit Kim Berthiaume, du studio Unreliable Narrators, pour parler du développement de ce jeu offrant un regard différent sur l’histoire et la culture autochtones.
Pour les passionnés du genre, ce titre est l’un de ceux que l’on maîtrise lentement, très lentement, en y consacrant des heures. On apprendra rapidement à apprécier cet aspect survivaliste, avec une tension toujours bien présente. Bref, Zero Sievert n’est certainement pas à mettre en toutes les mains, mais pour ceux et celles qui ne sont pas rebutés par un défi à la hauteur de leurs attentes, et qui aiment bien souffrir, c’est le jeu idéal. Après tout, ne sommes-nous pas en plein chaos mondial?