Browsing: Vie tentaculaire

Les nombreuses critiques dont a été l’objet l’actrice Gwyneth Paltrow pour ses produits pseudoscientifiques, n’ont pas empêché sa compagnie de grossir. En fait, ces critiques ont peut-être même aidé sa compagnie à grossir. 

Un changement de siècle ou de décennie est toujours l’occasion d’un peu de nostalgie… et de confusion. Si nous laissons effectivement les années 2010 derrière nous, en revanche, on n’entre pas pour autant dans la 3e décennie du 21e siècle. Le Détecteur de rumeurs explique pourquoi c’est une question d’histoire, et non de mathématiques.

Ces dernières années, les burgers commerciaux de « viandes végétales » se sont multipliés, surfant sur leur aura santé et sur le courant environnemental. Si l’impact environnemental d’une diminution de la viande rouge ne fait aucun doute, le Détecteur de rumeurs a découvert des bémols quant aux bénéfices pour la santé de ces burgers «sans viande». 

Il y a quelque chose de particulièrement intéressant lorsque l’on est en mesure de mettre la main sur non seulement un bel objet, mais également un produit qui fonctionne, tout simplement. L’entreprise montréalaise Solios, avec ses montres solaires écoresponsables, propose justement de tels produits.

Certains seront surpris d’apprendre que l’agriculture biologique utilise aussi des pesticides dits « naturels ». Quelle est la différence entre ce type de produit et les pesticides conventionnels? Le Détecteur de rumeurs répond à cette question.

Une étude effectuée à l’aide de 94 000 choix de repas offerts en cafétéria a révélé que le fait de doubler les options végétariennes, en les faisant passer d’un sur quatre à deux sur quatre, avait permis de réduire les achats de repas riches en viande de 40 à 80% sans affecter les ventes de nourriture, au final.

Que diriez-vous de la possibilité de pouvoir planifier la naissance de votre prochain enfant pendant la période de temps où votre travail se trouvera entre Jupiter et Saturne?

Des anguilles. Beaucoup d’anguilles. De l’ADN d’au moins 3000 espèces, y compris des espèces qui n’y vivent même pas, comme des humains, des chiens et des cerfs. Mais les chercheurs néo-zélandais qui cataloguent les espèces vivant dans ou autour du Loch Ness, à partir d’échantillons d’ADN récoltés dans l’eau, n’ont pas trouvé de gènes d’un monstre préhistorique.