Près du quart des mères canadiennes ont souffert de dépression post-partum ou d’un trouble anxieux après avoir donné naissance à leur enfant, révèle une note d’information de Statistique Canada diffusée récemment. Au Québec, cette proportion s’établit à 23%, ce qui correspond à la moyenne nationale.
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Alors que la maladie de Lyme se traite par des antibiotiques pendant deux à quatre semaines, un petit groupe de gens proclame l’existence d’une forme chronique de cette maladie et, en France en 2016 puis au Québec ce mois-ci, cette idée a fait parler d’elle dans les médias.
En 2001, les États-Unis ont coupé le budget de l’aide étrangère qui allait aux cliniques d’avortement en Afrique subsaharienne. Résultat, pendant les huit années suivantes, les avortements… ont augmenté.
À lui seul, un couple new-yorkais a donné trois millions de dollars à des groupes anti-vaccins — incluant deux forums pour la communauté juive orthodoxe, qui est au cœur de la pandémie de rougeole qui frappe la région de New York.
L’idée de consommer son placenta pour éviter la dépression post-partum et pour prendre des forces après l’accouchement fait des adeptes sur le web. Mais la pratique n’est pas forcément bénéfique pour la santé. Le Détecteur de rumeurs explique pourquoi.
En moyenne, une personne consomme davantage de calories qu’il y a 50 ans, soit l’équivalent d’un hamburger supplémentaire par jour, ce qui a des effets dévastateurs sur notre cerveau et notre tour de taille, met en garde un spécialiste de la santé de l’Université nationale australienne (ANU).
Les campagnes de prévention du jeu compulsif se suivent… et ratent souvent leur cible: un dé roule dans une seringue; le visage d’une jeune mariée se transforme en billet à gratter perdant; un bébé annonce qu’il n’ira pas à l’université; une femme, qu’elle n’aura pas de vacances.
Important problème de santé publique, le suicide régresse néanmoins au Canada depuis les années 2000, particulièrement chez les hommes de 18 à 64 ans. Les experts constatent toutefois une légère augmentation chez les adolescents et les jeunes adultes.
« C’est le patriarcat qu’il faut électrocuter, pas les femmes », « La santé mentale ne justifie pas l’expérimental », « La mémoire, c’est sacré ». Arborant ces slogans sur des pancartes, une cinquantaine de personnes ont manifesté à Montréal à la veille de la Fête des mères, pour bannir du Québec l’électroconvulsivothérapie (ECT), mieux connue sous le nom d’électrochocs.
L’idée que les hommes passeraient par un équivalent de la ménopause, appelé l’andropause, n’est pas acceptée par la communauté médicale. Et pourtant, l’idée qu’ils aient besoin en vieillissant de traitements d’hormones gagne en popularité. Une tendance inspirée plus par le marketing que par la médecine, constatent l’Organisation pour la science et la société et le Détecteur de rumeurs.