Le 11 avril, la revue BMC Infectious Diseases annonçait qu’elle retirait l’article, après des semaines d’échanges infructueux entre l’éditeur et l’auteur pour que ce dernier clarifie sa méthodologie.
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Les vendeurs d’adaptogènes peuvent bien affirmer que ça fonctionne, mais ils ne semblent pas intéressés à « investir beaucoup d’argent » dans une étude, vu le risque qu’elle arrive au résultat qu’il n’y a aucun bénéfice.
Il faut aussi se rappeler que le taux de natalité en général était déjà en déclin dans la décennie précédant la COVID.
Les épidémiologistes interrogés par le Tampa Bay Times, qui ont passé en revue les versions préliminaires du document, ont jugé que « l’omission » était « inexplicable », voire « irresponsable ». L’un d’eux parle même de «mensonge par omission ».
C’est toutefois encore un peu tôt pour affirmer qu’il s’agit d’une bonne piste pour prédire les complications de la Covid.
Une autre hypothèse pour expliquer la réduction des infections respiratoires pendant la pandémie serait la « compétition » entre les différents virus.
Certaines méthodes de contraception dites naturelles sont meilleures que d’autres pour identifier avec précision les journées fertiles du cycle menstruel. Mais la complexité de leur utilisation diminue leur efficacité.
Proportionnellement, les non-vaccinés étaient systématiquement plus à risque d’être l’objet de cas graves de COVID conduisant à des hospitalisations, voire plus à risque d’en mourir.
En gardant un esprit critique, il est possible de déterminer la pertinence des différents experts, de se faire une opinion nuancée d’un sujet controversé et de voir s’il est possible d’adapter les recommandations à sa situation personnelle.
Les auteurs de l’étude écrivent que la vaccination réduit le risque, « même chez des individus avec d’autres facteurs de risque comme un âge plus avancé ou un haut facteur de masse corporel ».
