« Nos recherches indiquent que l’inégalité n’est pas seulement quelque chose de malheureux qui se produit fréquemment dans les villes. »
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Les projets de recherches dénoncés devant le Congrès des États-Unis le 4 mars n’ont pas pour objectif de créer des souris transgenres. Il s’agit plutôt d’études visant à évaluer les effets de différents traitements hormonaux sur la santé humaine et qui utilisent pour cela des souris comme modèles.
Si cette interprétation est juste, c’est donc une partie de la préhistoire des Amériques qui resterait encore à découvrir.
Ce qui se passe au Texas et en Ontario est bel et bien inhabituel, par rapport aux statistiques des dernières décennies. De plus, là comme ailleurs, on remarque un nombre très élevé de personnes non vaccinées parmi les personnes infectées.
Tous les décès ne sont d’ailleurs pas mesurables, mais ils n’en sont pas moins « évitables »: sans ces fonds, par exemple, le risque est désormais plus élevé qu’une épidémie de mpox, de grippe aviaire ou même d’Ebola, passe plus longtemps sous le radar dans un pays en voie de développement, faute de pouvoir effectuer un suivi adéquat.
L’étude souligne aussi, par la bande, une faiblesse des notes de la communauté: comme elles reposent sur le bénévolat d’usagers, et des usagers qui, de surcroît, sont anonymes, il est impossible de mesurer la rigueur ou l’expertise de ceux-ci.
De l’avis des chercheurs, mieux faire connaître les causes sociopolitiques des problèmes de santé mentale, comme l’instabilité politique, les catastrophes naturelles et la guerre, pourrait aider à favoriser la tolérance envers les personnes touchées.
Dans le cadre de l’étude, les adultes avec un historique de dépression ont développé, en moyenne, 0,2 nouveau problème de santé physique par an, alors que pour les autres, ce total était de 0,16.
Le mode de vie a deux fois plus d’influence que la génétique sur le risque de développer une maladie cardiaque. Mais à l’inverse, la génétique semble être derrière 35% des risques de démence, contre 10% pour le mode de vie.
Les chercheurs voulaient non pas cerner les bons soins à donner, mais plutôt voir si les besoins identifiés résultaient des malades ou des professionnels.