Déjà, à la mi-septembre 2024, on recense quelque 200 000 feux de forêt au Brésil depuis le début de l’année, plus du double de ceux calculés pendant la même période l’an dernier.
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Les chercheurs, provenant de trois pays, se sont appuyés sur des estimations précédentes, selon lesquelles le 1% le plus riche de la population des États-Unis est responsable de plus d’émissions de GES que les 50% les plus pauvres. Or, d’après leur enquête, aux États-Unis, plus de la moitié de la population sous-estime cette empreinte carbone par un facteur de 10.
Comme il s’agit d’un fjord, qu’il fait moins de 3 km de large et qu’un glacier en ferme une des extrémités, l’immense énergie libérée a en quelque sorte été emprisonnée dans cet espace réduit, plutôt que de se dissiper sur l’océan.
Ce dont il est question, ce sont des « amas » ou des « grappes » de cellules faisant moins d’un millimètre de diamètre qui ressemblent superficiellement à des embryons mais n’en sont pas. Depuis deux décennies que plusieurs laboratoires en biologie cellulaire font ce genre d’expérience, ces imitations d’embryons ne sont pas viables.
À partir de quel moment les politiciens qui blâment la Chine lorsqu’on leur reproche de ne pas s’engager à réduire assez vite les gaz à effet de serre, réaliseront-ils que leurs économies ont pris du retard?
La quarantaine de chercheurs européens et nord-américains ont comparé, chez 10 500 personnes dans 27 pays, l’efficacité de deux messages: l’un, qu’ils qualifient de « classique », sur « la réalité des changements climatiques causés par l’humain » et l’autre, mettant l’accent sur le fait que les scientifiques s’entendent sur la gravité des événements.
Lorsque le courant-jet polaire de l’hémisphère nord glisse anormalement vers le sud, on assiste, dans des régions qui n’en ont pas l’habitude, à des températures anormalement froides en hiver —c’est ce qu’on s’est mis à appeler ces dernières années le vortex polaire.
Les auteurs de l’étude ont détecté la richesse la plus importante dans une zone de moins de 100 kilomètres carrés à Madagascar. Ce pays, avec le Mexique et l’Indonésie, compte le plus grand nombre d’espèces à la fois diverses et menacées.
Il reste néanmoins difficile de prouver le lien de cause à effet, comme le fait remarquer l’expert néerlandais en épidémiologie de l’environnement Roel Vermeulen: le déclin des chauves-souris ayant entraîné une baisse des revenus des agriculteurs, ce dernier facteur pourrait aussi être pointé du doigt pour une hausse de la mortalité infantile.
Il faut rappeler que malgré leur mauvaise réputation dès qu’il est question de protection de la nature, les villes abritent une certaine biodiversité : les auteurs de cette étude rappellent que des collègues allemands avaient préalablement identifié à Berlin 213 espèces de plantes menacées de disparition.