Une recherche parue en 2022 soulignait qu’aux États-Unis, cette « migration climatique » allait amplifier dans les prochaines décennies des tendances déjà amorcées sur le plan démographiques, en particulier un vieillissement accéléré de la population dans certaines régions.
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Au cours de cette période, soit le milieu du siècle dernier, on a recensé les changements mondiaux et permanents les plus évidents. C’est à ce moment que des substances organiques polluantes ont commencé à être détectées à l’échelle mondiale, en plus de l’apparition des plastiques et microplastiques dans l’environnement.
« Heureusement, nous disposons de la technologie pour transformer ce problème en une opportunité d’affaires pour les éleveurs, qui pourront réduire leur facture d’énergie s’ils capturent et utilisent le méthane comme carburant. »
Dans le scénario « moyen » d’augmentation des gaz à effet de serre que privilégient les climatologues, un « El Niño extrême » se produirait désormais une fois par décennie, plutôt qu’une fois par deux décennies, comme ce fut le cas au cours du dernier siècle.
Selon la théorie alternative des deux chercheurs, la gravité terrestre a séparé un binôme de « visiteurs », arrachant la Lune, qui est alors devenue notre satellite naturel.
Dans les faits, le nombre de tâches qu’elles peuvent accomplir se limite à 12. Et elles ne peuvent repérer que les nombres premiers qui sont entre 0 et 9.
Il s’avère que ce n’est pas seulement pour fouiller, mais pour détecter: dans une recherche parue la semaine dernière, des biologistes décrivent des expériences menées dans un aquarium au cours desquelles le poisson a pu, grâce à ses « appendices », détecter de la nourriture qu’on avait dissimulée entre 1 et 5 cm de profondeur.
Rien que depuis le début de la décennie (2021-2024), c’était le 4e ouragan de catégorie 3 ou plus (l’échelle de Saffir-Simpson compte 5 niveaux) à frapper la partie continentale des États-Unis.
Les chercheurs proposent aussi un modèle pour tenter de prévoir l’évolution future de ces bactéries, et pour s’en prémunir. Cette évolution ne fait pas pour autant de ces microbes, dans l’immédiat, une menace pour les astronautes.
De quelque façon qu’on fasse le calcul, il est certain que la société paie déjà en partie la facture des changements climatiques. Même si certains coûts indirects sont difficiles à évaluer pour le moment, les dépenses en cause sont vraisemblablement en train d’augmenter.