Ces observations démontrent l’importance de mieux encadrer les activités humaines qui peuvent empirer la situation… puisqu’il est difficile de contrôler les plantes, remarquent les scientifiques.
Browsing: Environnement
Le fait que ces particules soient peu étudiées vient justement de leur taille, et du haut degré d’incertitude que cela entraîne dès qu’on tente d’estimer la quantité à laquelle une personne est exposée. Mesurer les émissions à la source est en effet possible, mais mesurer l’impact sur la santé est plus difficile.
Toute forme de transformation à grande échelle du climat au-dessus d’une région —à supposer qu’elle soit possible— aurait inévitablement des répercussions sur d’autres régions.
Les « revenus perdus » à cause des ouragans aux États-Unis seraient passés de 15 000 milliards de dollars à 40 000 milliards de dollars, sur une période d’environ 40 ans.
Oxfam se réfère aux données du GIEC, le groupe de chercheurs sur le climat rattaché aux Nations unies, pour rappeler que « depuis les années 1970, 44% des catastrophes environnementales sont liées à des inondations ». Une proportion qui est appelée à augmenter en raison de la multiplication des extrêmes climatiques.
Avec la transition en cours vers des sources d’énergie autres que le pétrole et la diminution appréhendée des revenus générés par ce carburant, les compagnies pétrolières et même certains États pétroliers, investissent de plus en plus dans la production de plastique et dans l’industrie pétrochimique en général.
Les ménages québécois jettent l’équivalent de 1300$ de nourriture par an, selon Recyc-Québec, soit un montant non négligeable dans le budget des familles.
Les compagnies concernées risquent évidemment de contester la loi devant les tribunaux. Déjà en mars, l’American Petroleum Institute, le plus gros lobby du pétrole aux États-Unis, avait fait connaître, dans une lettre envoyée aux élus, son opposition à une loi qui, selon eux, « tient des compagnies responsables pour des actions tenues par la société dans son ensemble ».
En soi, « déterminer » à quel moment on aura dépassé le cap du 1,5 degré dépend aussi de la définition qu’on donne à un « dépassement ».
Une grosse partie de cette chaleur excédentaire s’accumule dans les océans, et c’est de là que provient l’inquiétude suscitée par ce nouveau rapport publié dans la revue Earth System Science Data.