Au cours de cette période, soit le milieu du siècle dernier, on a recensé les changements mondiaux et permanents les plus évidents. C’est à ce moment que des substances organiques polluantes ont commencé à être détectées à l’échelle mondiale, en plus de l’apparition des plastiques et microplastiques dans l’environnement.
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« Heureusement, nous disposons de la technologie pour transformer ce problème en une opportunité d’affaires pour les éleveurs, qui pourront réduire leur facture d’énergie s’ils capturent et utilisent le méthane comme carburant. »
Dans le scénario « moyen » d’augmentation des gaz à effet de serre que privilégient les climatologues, un « El Niño extrême » se produirait désormais une fois par décennie, plutôt qu’une fois par deux décennies, comme ce fut le cas au cours du dernier siècle.
Rien que depuis le début de la décennie (2021-2024), c’était le 4e ouragan de catégorie 3 ou plus (l’échelle de Saffir-Simpson compte 5 niveaux) à frapper la partie continentale des États-Unis.
De quelque façon qu’on fasse le calcul, il est certain que la société paie déjà en partie la facture des changements climatiques. Même si certains coûts indirects sont difficiles à évaluer pour le moment, les dépenses en cause sont vraisemblablement en train d’augmenter.
Déjà, à la mi-septembre 2024, on recense quelque 200 000 feux de forêt au Brésil depuis le début de l’année, plus du double de ceux calculés pendant la même période l’an dernier.
Les chercheurs, provenant de trois pays, se sont appuyés sur des estimations précédentes, selon lesquelles le 1% le plus riche de la population des États-Unis est responsable de plus d’émissions de GES que les 50% les plus pauvres. Or, d’après leur enquête, aux États-Unis, plus de la moitié de la population sous-estime cette empreinte carbone par un facteur de 10.
À partir de quel moment les politiciens qui blâment la Chine lorsqu’on leur reproche de ne pas s’engager à réduire assez vite les gaz à effet de serre, réaliseront-ils que leurs économies ont pris du retard?
La quarantaine de chercheurs européens et nord-américains ont comparé, chez 10 500 personnes dans 27 pays, l’efficacité de deux messages: l’un, qu’ils qualifient de « classique », sur « la réalité des changements climatiques causés par l’humain » et l’autre, mettant l’accent sur le fait que les scientifiques s’entendent sur la gravité des événements.
Lorsque le courant-jet polaire de l’hémisphère nord glisse anormalement vers le sud, on assiste, dans des régions qui n’en ont pas l’habitude, à des températures anormalement froides en hiver —c’est ce qu’on s’est mis à appeler ces dernières années le vortex polaire.