« L’influence humaine que nous constatons est parfois si forte qu’il existe même des signes indiquant un effondrement complet des communautés d’espèces. »
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Les « loups » élevés par la compagnie Colossal Biosciences ne sont pas des loups sinistres, mais plutôt des loups gris génétiquement modifiés pour leur ressembler. On est encore loin de la « désextinction » ou de la « résurrection » d’une espèce disparue.
Déjà, le 22 mars, un communiqué de l’Observatoire de la Terre (Earth Observatory) de la NASA avait alerté que la couverture de glace était à son plus bas pour ce moment de l’année: 14,33 millions de kilomètres carré, contre 14,41 millions pour le précédent record, en 2017.
Chez les chimpanzés par exemple, il y a longtemps qu’on a observé qu’un cri d’alerte pour signaler la présence d’un serpent peut prendre des formes différentes —, mais l’alerte reste pourtant la même.
Après quelques décennies passées à étudier ce phénomène, les météorologues n’ont pas manqué de spéculer sur la possibilité que les El Niño « longs » soient plus fréquents qu’avant.
Les neurosciences ont établi depuis longtemps que le cerveau est suffisamment malléable — et c’est encore plus vrai chez les enfants — pour pouvoir créer de nouvelles connexions lorsque les circonstances l’imposent.
Un phénomène appelé syndrome d’effondrement des colonies (ou syndrome de dépopulation des ruches) s’est produit dans de nombreuses régions d’Amérique du Nord, puis d’Europe, provoquant certains hivers la disparition entière de ruches.
En annonçant dimanche dernier qu’elle se mettait sous la protection de la loi sur les faillites, la compagnie précisait que, pendant la recherche d’un acheteur, elle poursuivrait ses opérations et qu’il n’y aurait « aucun changement dans la façon dont la compagnie entrepose, gère ou protège les données de ses clients ».
Si le gouvernement américain ne revient pas sur ses décisions, c’est 8% de l’aide mondiale aux « finances climatiques » qui disparaît.
Les résultats ne sont pas étonnants lorsqu’on se rappelle que l’Arctique s’est réchauffé, en moyenne, quatre fois plus vite que le reste de la planète au cours des 40 dernières années.